Ghlamallah s'élève contre les pratiques des évangélistes Le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, Bouabdallah Ghlamallah, a dénoncé la distribution, par des évangélistes, de livres et cassettes audiovisuelles sur le christianisme à des membres de la communauté algérienne pour les introduire en Algérie. Invité du forum de la télévision, M. Glamallah a affirmé qu'en dépit de « la saisie, par les douanes algériennes, d'une importante quantité de ces cassettes, un lot est arrivé quand même à être introduit en Algérie », qualifiant cette pratique d'« immorale ». Les auteurs de cette entreprise veulent « nuire à notre pays », a-t-il dit. Concernant le nombre d'Algériens convertis au christianisme, le ministre a précisé qu'« aucun cas n'a été enregistré cette année ». Des avocats français à Oran Une délégation d'avocats français en provenance de la Seine-Saint-Denis, présidée par le bâtonnier de la Seine-Saint-Denis, maître Frédéric Gabet, est attendue le 13 janvier prochain à Oran pour une visite de trois jours, a-t-on appris auprès du bâtonnier d'Oran, maître Ouahrani Lahouari. « La défense pénale d'urgence » (comparution immédiate), « La déontologie » et « L'échange de formation d'avocats » sont les trois thèmes retenus pour être développés durant ce séjour entre les deux barreaux d'Oran et de la Seine Saint-Denis, a fait savoir maître Ouahrani. Cette rencontre sera également ouverte aux magistrats du Parquet et de la cour de justice d'Oran, a-t-il indiqué. Un CD-Rom sur les changements climatiques Un CD-Rom sur les changements climatiques vient d'être édité par l'Observatoire des changements climatiques et leurs impacts sur le développement en Algérie, relevant de l'Association de recherche sur le climat et l'environnement (ARCE), basée à Oran. Ce produit sera mis en vente dès cette semaine, apprend-on auprès de ses concepteurs. Ce CD-Rom, destiné essentiellement aux chercheurs, universitaires et certains organismes et institutions, aborde plusieurs thèmes. Le CD-Rom que compte lancer l'Observatoire des changements climatiques avec le soutien de l'Union européenne et le groupe Sonatrach comporte également un travail autour des changements climatiques et leurs influences sur l'environnement. La presse déroutée Conviés, dans l'après-midi d'hier, à un point de presse devant être axé sur les dernières évolutions de l'affaire de l'hôtel du square, les journalistes ont eu, après une longue attente, la déplaisante surprise de voir la rencontre annulée. Le gérant, visiblement confus, s'est excusé auprès du groupe de journalistes présents pour la circonstance. Son avocat, maître Lahcène Seriak en l'occurrence, aurait opposé un niet catégorique. Le tapage médiatique qui s'ensuivra serait contre-productif pour son client. Pour lui, l'enquête suit toujours son cours et les conclusions seront communiquées à la presse le moment venu. Le gérant a tenu pourtant à rectifier les chiffres rapportés, en grosses manchettes, par la presse au lendemain du sinistre. Trafic de stupéfiants à Sétif Un vendeur de stupéfiants a été arrêté la semaine dernière à Sétif en possession de 32 gr de kif. Le mis en cause, B.H., âgé de 20 ans, a été présenté devant le magistrat instructeur pour détention et trafic de stupéfiants et placé sous mandat de dépôt. « Pour la seule ville de Sétif, 288 inculpations ont été prononcées entre janvier et novembre derniers, avec 279 personnes placées en détention préventive », a précisé le responsable des services de la police judiciaire (SPJ). Ce dernier indique que « 234 affaires liées au trafic de drogue ont été traitées, au niveau du chef-lieu de wilaya seulement, par la brigade de répression des stupéfiants, qui a pu opérer la saisie de 2,2 kg de kif et de plus de 4000 comprimés de psychotropes ». Saisie de 3 kg de drogue F. J. a été présenté cette semaine devant le parquet de Sidi Bel Abbès pour détention d'une quantité de 3,780 kg de drogue, selon une source judiciaire. Le mis en cause, âgé de 44 ans, avait été appréhendé lors d'une perquisition effectuée par les services de police judiciaire dans une ferme située dans les environs de l'agglomération de Sidi Bel Abbès. La quantité de drogue saisie, qui provenait des zones frontalières de l'ouest du pays, était destinée à l'écoulement sur le marché local, ajoute-t-on.