Une jeune femme, médecin de garde aux urgences médico-chirurgicales de l'hôpital Youssef Damerdji, a été agressée par un malade qui n'admettait pas que la prescription médicale ne soit pas à son goût. L'incident a valu l'intervention d'agents de sécurité et de citoyens jusqu'à la venue de policiers de garde. L'agresseur a été auditionné et sera présenté devant la justice pour «agression sur un travailleur en fonction» et «troubles à l'ordre». Au-delà de l'acte subsiste cette violence qui caractérise trop souvent les UMC dont il faudrait peut-être revoir le fonctionnement.