Le Salon de la photographie se tiendra jusqu'au 30 juin au palais de la culture Moufdi Zakaria. - Le Salon de la photographie insolite – seconde édition – ouvre ses portes. Quelles sont les nouveautés, cette année ? Beaucoup de sponsors qui nous ont fait confiance, mais aussi un niveau général en nette progression. Une grande marque d'appareil photo nous a offert l'opportunité d'avoir trois jours de workshop assurés par un spécialiste venu exprès pour l'occasion. - De quoi traitent ces ateliers ? Un sur la prise de vue, un sur le tirage et un sur la caméra professionnelle. Au-delà de ces workshops, il y aura des ateliers animés par Mehdi Moeqri sur les appareils photo, sur le point de vue technique. Abdelaziz Maâzouz va également animer un atelier sur la macrophotographie. A part ça, un programme pédagogique destiné aux enfants est prévu afin de les initier à la photographie. - Avez-vous noté un regain d'intérêt porté à la photographie, ces dernières années ? Après la décennie noire, les Algériens ont perdu l'habitude de prendre des photos, en famille, dans les jardins ou autre. Je sens qu'il y a un certain engouement, aujourd'hui. Sur dix personnes, vous en trouverez quatre qui ont un appareil photo.