-Cité Ben Hamoud (Dar El Beida) : les élèves du quartier scolarisés à Bab Ezzouar Les élèves habitant à Ben Hamoud 2, dans la commune de Dar El Beïda, ne sont pas scolarisés dans les écoles de leur quartier. Leurs parents affirment que les établissements scolaires environnants refusent de prendre leurs enfants, c'est ainsi que ces parents se rabattent sur les établissements scolaires de la commune de Bab Ezzouar. «En dépit de l'existence de plusieurs écoles primaires au niveau de notre cité, les directeurs de ces établissement ont toujours refusé d'inscrire nos enfants, ce qui nous contraint à nous rabattre sur l'école la plus proche, mais qui se trouve à quatre kilomètres», regrettent les parents d'élèves. Pour cette rentrée scolaire, le problème a été posé avec acuité par les parents d'élèves, mais ces derniers n'ont reçu aucune réponse de la part des responsables de l'éducation. Les élèves en bas âge devront subir encore pendant une année les désagréments causés par cette situation. -Haï El Badr (Bachedjarrah) : eaux usées à proximité de deux écoles Lors d'une séance de travail tenue samedi dernier, les représentants des parents d'élèves ont sollicité la presse pour lancer un appel à l'adresse des services de l'hydraulique. D'après un représentant, les dernières averses qui sont tombées au début de ce mois ont provoqué un débordement des eaux de l'oued. «Juste après ces précipitations, les bouches d'évacuation des eaux usées aménagées en dessous d'un ponceau situé à l'Appreval, ont été obstruées. Le lit de l'oued qui traverse la localité draine continuellement des eaux noirâtres dégageant des odeurs fétides. Il y a lieu de préciser que deux écoles sont situées à côté de l'oued. Les élèves de ces deux établissements continuent à subir les désagréments provenant des eaux de rejet. Nous lançons un appel pour solliciter une intervention efficace des services concernés afin de mettre fin à une situation préjudiciable tant pour les écoliers et les collégiens que pour les riverains», a-t-il soutenu. Le même interlocuteur a profité de l'occasion pour signaler un autre danger. «Les murettes de sécurité longeant l'oued se sont effondrées à la suite d'une érosion. Malgré les démarches effectuées auprès de l'APC de Bachedjarrah et de la circonscription administrative d'El Harrach, aucune suite n'a été donnée pour éliminer ce danger qui guette nos enfants ainsi que les passants», a-t-il conclu.