Le boulevard Sayeh Missoum qui traverse la ville du nord au sud vers Djemaa Sekhra est totalement dans l'obscurité. De même, la rue Abdi Hamza, qui longe les quartiers, la cité des Roses, Derb Derrar, les Orangers jusqu'à Aïn El Kolla, est dans le noir le plus total. Voici plusieurs jours, depuis les intempéries qui ont touché la région la semaine écoulée, que bon nombre de rues et quartiers sont dans le noir. L'origine de cette obscurité dans laquelle sont plongées plusieurs cités a pour nom défaillance de l'éclairage public. Le boulevard Sayeh Missoum, qui traverse la ville du nord au sud vers Djemaa Sekhra, est totalement dans l'obscurité. La rue Abdi Hamza, qui longe les quartiers, la cité des Roses, Derb Derrar, les Orangers jusqu'à Aïn El Kolla, est dans le noir le plus total. Le constat est le même au niveau du boulevard Chibane Amar qui traverse Echeffek. Les candélabres et lampadaires implantés de part et d'autre de la voie sont grillés. Cette situation déplorable, qui n'a pas pour autant inquiété les responsables. Les habitants affirment qu'il est difficile d'accéder à certains endroits de la ville sans compter les surprises souvent désagréables. En effet, avec une horde de chiens errants affamés et dangereux qui investissent les ruelles dès la nuit tombée, l'obscurité dans plusieurs endroits de la ville n'est pas faite pour arranger les choses. «Ma crainte ce sont ces meutes de canidés qui occupent les lieux. Que de fois, j'ai dû renoncer à aller à la mosquée pour les prières du soir et du matin à cause de la présence importune de ces bêtes effrayantes», témoigne un citoyen.