Les nouvelles cartes de recharge Djezzy d'une valeur de 500 DA sont quasi introuvables dans la capitale. Leur rareté a poussé certains commerçants à les vendre à un prix légèrement plus élevé. L'un de ces commerçants nous dira : « La demande est très élevée sur cette nouvelle carte apparemment plus économique, mais nous-mêmes nous en recevons très peu. » Il s'agit visiblement d'une partie du problème, puisque notre interlocuteur nous informe que la carte « est achetée par les commerçants à près de 490 DA. Ce qui fait que notre marge bénéficiaire est très réduite. » Un autre commerçant dira : « Les préposés à la vente des cartes de recharge sont obligés d'ajouter au moins 20 DA au prix réel de la recharge pour s'assurer une marge bénéficiaire plus au moins raisonnable. » Ce qui est, bien évidemment, illégal. Il se pourrait aussi que la marge bénéficiaire réduite de cette carte décourage les commerçants à en acheter, d'où sa rareté sur le marché. Un problème qui devrait être réglé entre Djezzy et ses points de vente.