Suite à la décision prise par la justice en France à l'encontre de l'ancienne présidente du parti de la droite, et présidente du groupe parlementaire, le Rassemblement national, ainsi que d'autres membres du même parti politique pour détournement de fonds publics, la loi est claire et la justice en France a appliquée ce qu'il devait être fait, condamnée en première instance à quatre ans de prison dont deux ferme, ainsi qu'à cinq ans d'inéligibilité avec exécution provisoire, elle décide de faire appel de la décision. Le jugement devrait être rendu durant l'été 2026. cette décision de justice contestée par le parti de la droite et par Le Pen elle même, sachant que à plusieurs reprises Marine et son parti demandent que la loi soit appliquée à l'encontre des élus qui seront condamnés pour détournement de fonds publics avec une inéligibilité a vie, cette loi devrait être mise en place disque le parti de la droite RN serait au pouvoir, voila que sont ancienne présidente soit condamné par les mêmes fait de détournement de Fonds publics réclame dénonce la soit disons «la décision politique de la justice» et que la justice à une partie prise au préalable pour barrée la route à Marine Le Pen pour quelle ne se présentera pas au élections présidentielles de 2027. Dans ce contexte et toujours dans sa propre démarche et sa bonne conduite le parti communiste français, dénonce avec fermetés toute influences a l'encontre de la justice en France part ces interférences qui peuvent nuire à la démocratie et à l'indépendance de la justice dans un pays de droit de l'homme et de la liberté d'expression, le PCF lance une pétition pour défendre la décision de justice et que et inapplication de la loi et que la peine prononcée soit exécuter. «Une pétition lancée par le PCF afin de défendre la peine d'inéligibilité remise en cause par l'extrême droite et la droite suite à la peine prononcée à l'encontre de Marine Le Pen et d'autres membres du RN pour détournement de fonds publics. La même Marine Le Pen défendait pourtant, il y a quelques années, la plus grande fermeté contre les élus condamnés. «Quand allons-nous mettre en place l'inéligibilité à vie pour tous ceux qui ont été condamnés pour des faits commis à l'occasion de leur mandat ? » demandait Marine Le Pen, sur Public Sénat, en 2013... Elle devrait se féliciter que cela n'est pas été fait, car pour le coup ce n'est pas cinq ans qu'elle aurait pris mais l'inéligibilité à vie. A les entendre toutes et tous c'est la démocratie qui est attaquée en France du fait que Marine Le Pen ne pourrait se présenter aux prochaines présidentielles si sa peine d'inéligibilité était confirmée en appel. Cette affirmation attire plusieurs remarques : a) A suivre cet argument cela reviendrait à soustraire tous les futurs candidat.es aux élections présidentielles et après, pourquoi pas à d'autres types d'élections, à cette peine prononcée pour détournement de fonds publics. Or en l'état du droit actuel la peine l'inéligibilité est obligatoire en vertu de l'article 131-26-2 du Code Pénal pour toute personne s'étant rendu coupable d'escroquerie ou détournement de fonds publics et disposant de l'autorité publique. Or concernant Marine Le Pen et ses coaccusés c'est ce qui ressort de l'instruction menée les Juges compétents en la matière. Les services enquêteurs ayant réunis les preuves à charge permettant de caractériser le délit. Il n'y a donc aucune atteinte à la démocratie mais application strict de la loi. La campagne de dénigrement et menaces contre les Juges n'est pas acceptables d'autant qu'elle est menée par les mêmes qui réclament toujours plus de fermeté de la part des Juges dans les condamnations qu'Ils prononcent contre les délinquants. b) Les Juges ne remettent pas en cause la démocratie, ils prononcent les peines en fonction de la gravité des délits et prévues dans Code Pénal. Celui-ci est le reflet des lois votées par la représentation parlementaire. Celle-ci est élue par les citoyen dans le cadre du processus électoral qui est le garant de la démocratie d'un Etat de droit. Si les Juges ne respectaient pas le Code Pénal au prétexte qu'ils ont à juger une personnalité politique, un ou une future candidate à des élections présidentielles, serait eux qui ne respecteraient pas la démocratie. c) Ce sont les attaques contre l'inéligibilité qui fragilisent la démocratie, céder à celles-ci reviendrait à officialiser le «deux poids deux mesures» qui en fait conduirait la Justice à traiter différemment les personnes détenant un mandat électif contrairement à celles et ceux qui n'en détiendraient pas. Ça serait le meilleur moyen d'éloigner davantage les citoyen de la politique et faire grandir l'abstention, déjà très élevée dans notre pays. d) Il est juste que dans les cadre de détournement de fonds publics, qui sont alimentés par la participation contributive de tous les citoyens et toutes citoyennes aux budget de l'Etat et de la Communauté Européenne, (impôts sur le revenu, TVA) les élu.es détenteurs de l'autorité public et tenu.es à un devoir d'exemplarité, soient frappé.es d'inéligibilité comme sanction ne leur permettant pas de se servir d'un nouveau mandat électoral pour récidiver. Faire signer la pétition, à la famille, aux ami.es et récolter des dizaines de milliers de signatures et bien un acte de défense et protection de la démocratie dans notre pays». De Marseille,