-Rouiba : les marchands informels gênent la circulation Le tronçon de route, reliant la localité de Souachet à Rouiba, est quotidiennement obstrué par les vendeurs informels qui installent leurs marchandises sur le bas côté de la route. Les automobilistes qui s'arrêtent pour faire leurs emplettes créent des bouchons, obligeant ainsi les autres usagers de la route à ralentir, ce qui engendre d'énormes embouteillages. Ces marchands qui occupent tantôt cet important axe routier tantôt le pont du Hamiz, sont à l'origine de cette congestion routière pénalisante pour les automobilistes qui passent des heures dans d'interminables files. «Les marchands qui s'installent dans ce lieu dès les premières heures de la matinée provoquent des embouteillages qui n'en finissent pas, d'où la nécessité de les délocaliser», suggère-t-on. Ces marchands ambulants s'installent également aux abords du CW 149 ou à l'entrée de l'autoroute de l'Est, créant également des bouchons à ces endroits. -Heuraoua : route dégradée La seule route qui permet l'accès au chef-lieu de la commune de Heuraoua par l'ouest est dans un tel état de délabrement qu'il est difficile pour les automobilistes de l'emprunter. «La route est ponctuée d'excavations qui mettent nos véhicules à rude épreuve», dira un habitant de Heuraoua, qui emprunte ce tronçon de route quotidiennement. Signalons que plusieurs projets de revêtement en bitume des routes de la commune sont en souffrance, et ce, à cause du blocage que connaît l'Assemblée. «Nous, habitants de Heuraoua, sommes les premiers a être pénalisés par cette situation de blocage qui dure depuis l'investiture de la nouvelle Assemblée», regrettent des habitants. «Nous demandons aux élus locaux de régler ce problème dans les plus brefs délais, car il y va de l'intérêt des citoyens», poursuivent-ils.