Les étudiants de l'ENSJ se penchent sur la musicothérapie Dans le cadre de leurs activités culturelles, les étudiants de l'Ecole nationale supérieure de journalisme (ENSJ) organisent des conférences sur la musicothérapie. Cette manifestation aura lieu le samedi 18 janvier à partir de 13h au sein de l'amphithéâtre de l'ENSJ à Ben Aknoun (Alger). Les interventions des experts seront suivies par des débats afin de vulgariser tous les moyens thérapeutiques ; notamment la musique ; qui favorisent l'aide et le soutien au profit des personnes en difficultés. La musicothérapie a été expérimentée avec succés dans le monde.
Une enseignante tortionnaire
Au collège d'Alger Annane Saïd, ex-Beau Séjour, une enseignante d'arabe a recours systématiquement à la violence pour rétablir l'ordre dans sa classe. Le jeudi 9 janvier 2014, après avoir cassé une règle sur le corps d'un enfant dit turbulent, elle lui assène plusieurs coups de poing sur la nuque. La mère de l'élève se plaint à la directrice de ce comportement indigne d'une enseignante en lui remettant un courrier. Les choses ne s'arrêtent pas là, puisqu'à la séance qui a suivi l'entretien, l'enseignante en question humilie l'élève devant ses camarades et le menace de le faire passer en conseil de discipline et de l'exclure de l'établissement s'il venait à se plaindre une autre fois. La mère retourne voir la directrice, celle-ci convoque l'enseignante qui répond que ce n'était pas grave puisqu'elle n'a pas tué l'élève…, et ce, en présence de la responsable de l'établissement. Faut-il attendre que l'irréparable se produise pour faire comprendre à cette enseignante qu'elle est dans son tort, qu'elle dépasse ses prérogatives et que le châtiment corporel est strictement interdit par la loi ? Un appel urgent est lancé aux responsables de l'Education nationale pour mettre fin à de tels agissements qu'aucun parent d'élève ne peut tolérer. Un marin pêcheur retrouvé pendu à Beni Saf
Un marin pêcheur âgé de 29 ans a été retrouvé, dans la nuit d'avant-hier, pendu par une corde dans son domicile à Ghar El Baroud, un quartier de la ville de Beni Saf, a-t-on indiqué dans un communiqué de la Protection civile de Aïn Témouchent. Le corps sans vie du nommé B. R., marié, découvert pendu à une corde attachée à un pilier de son domicile, a été évacué vers la morgue de l'hôpital de Beni Saf, a-t-on ajouté. Des clandestins franchissent la frontière espagnole à Melilla
Une soixantaine de clandestins ont franchi, hier matin, la frontière grillagée qui sépare le Maroc de l'enclave espagnole de Melilla, après une première tentative d'assaut massif mené par 300 immigrants dans la nuit, a annoncé la préfecture de la ville. «Vers 7h (6h GMT), environ 150 immigrants ont lancé un assaut, dont on estime qu'environ 60 sont parvenus à entrer», a indiqué une porte-parole de la préfecture de Melilla. Auparavant, «un groupe d'environ 300 immigrants a tenté d'entrer à Melilla vers 3h. Ils n'ont finalement pas réussi et sont restés à environ 300 mètres de la frontière», a-t-elle précisé. Selon le préfet de Melilla, Abdelmalik El Barkani, le second groupe est entré dans la ville en franchissant le grillage «de manière assez violente, lançant des pierres et donnant des coups de bâton». Entre le 1er janvier et le 17 septembre 2013, environ 3000 clandestins ont tenté de franchir la barrière grillagée de Melilla, selon le ministère espagnol de l'Intérieur, dont 77% ont été repoussés. 1610 immigrants avaient tenté leur chance de cette façon sur la même période de 2012.