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Aïn Tédelès : 103 familles réclament des titres de propriété depuis 16 ans
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Publié dans El Watan le 16 - 04 - 2014

Les familles qui ont bénéficié de l'attribution d'un logement, il y a 16 ans, continuent de réclamer leurs titres de propriété auprès de l'administration.
Ayant bénéficié d'une affectation en bonne et due forme et ce, depuis l'année 1998, 103 familles n'ont jamais cessé de réclamer la régularisation de leur situation, n'hésitant pas à frapper à toutes les portes des responsables administratifs ainsi que des élus qui se sont relayés à la tête de la mairie.Selon leurs représentants, ces citoyens ne comptent pas en rester là puisqu'une entrevue avec le nouveau wali n'est pas à exclure, selon leurs dires.
A l'appui de leur requête, ces habitants signalent qu'ils se sont conformés à toutes les formalités administratives et financières exigées par l'administration. Et ce, malgré le fait que, dans la plupart des cas, il s'agit de familles de simples employés ou fonctionnaires avec des revenus limités, ce qui aura nécessité de la part des chefs de familles de sérieux efforts afin de limiter l'impact de ces ponctions sur le pouvoir d'achat et, subséquemment, sur le niveau de vie. Il semblerait que, dans la plupart des cas, les redevances aient été versées en plusieurs étapes afin de ne pas trop impacter les maigres ressources financières de nombreuses familles.
Cette situation, qui n'a que trop duré, comme le soulignera cet ancien fonctionnaire, est devenue intenable pour les chefs de famille les plus âgés, qui n'aspirent qu'à obtenir ce petit bout de papier qui mettra fin à un calvaire de 16 années. De son côté, l'agence CNEP les a mis en relation avec un notaire qui n'est toujours pas parvenu à élucider cet écheveau. Ses investigations l'auraient mené dans les dédales de l'administration des domaines ainsi qu'au niveau des services du cadastre d'où il s'en est retourné bredouille, provoquant un profond désappointement et une sourde colère chez ses mandants.
Selon toute vraisemblance, le problème résiderait au niveau des services étatiques qui auraient décelé une erreur procédurière. Apparemment, c'est cette lacune dans la procédure de départ qui bloquerait le dossier, et ce, depuis 16 années. Les malheureux bénéficiaires, qui continuent d'en subir les conséquences les plus fâcheuses, ne comprennent pas qu'après autant de temps, personne n'ait trouvé la formule qui leur permettrait de redevenir des citoyens à part entière.
D'autant qu'aucun père de famille concerné ne peut être tenu pour responsable de cette fâcheuse et délicate situation. Leur seul tort serait d'avoir accepté d'être logés dans une cité qu'ils n'ont ni construite ni choisie. Car, dans l'euphorie de l'attribution, personne ne s'est soucié de les informer qu'ils allaient habiter une cité qui ne disposait d'aucun statut juridique et donc n'avait aucune existence légale.
Voilà comment les erreurs des uns finissent par empoisonner toute la vie de paisibles citoyens.


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