-Couffin de Ramadhan à Draria : 2105 familles nécessiteuses concernées A Draria, quelque 2105 familles bénéficieront de l'aide dans le cadre de l'opération couffin de Ramadhan. D'après le président de l'APC, Romali Djilali, «un montant de 3700 DA est octroyé à chaque famille. Cette somme leur sera versée par le biais de la poste», assure-t-il. Par ailleurs, l'APC de Draria a ouvert un restaurant Rahma au centre-ville. «Le restaurant assure quotidiennement des repas chauds pour 200 personnes», affirme-t-il. Outre les opérations de solidarité, la municipalité organise durant les soirées du Ramadhan des activités culturelles et de loisirs au profit des familles. «S'agissant de l'animation culturelle, nos partenaires du secteur de la jeunesse, des sports, de la culture et le mouvement associatif assurent l'organisation de soirées au profit des familles, et ce, afin d'égailler les soirées de Ramadhan», affirme-t-il. Dans le même ordre d'idées, le président de l'APC de Draria n'omettra pas de signaler que la municipalité organisera durant ce mois une cérémonie pour la circoncision des enfants, ainsi qu'une autre pour récompenser les lauréats du concours d'apprentissage du Saint Coran. -Résorption de l'habitat précaire : 4500 familles déjà relogées Entamée début juin, l'opération de distribution de 45 000 logements dans la wilaya d'Alger a déjà touché 4500 familles, elle sera poursuivie après le Ramadhan. Attendu depuis plusieurs années par une population vivant dans des habitations précaires, le relogement à Alger a débuté le 21 juin à la cité des 3216 Logements de Chaïbia, dans la commune de Ouled Chebel. Le coût du déménagement d'une seule famille revient à 100 000 DA. Une enveloppe de 300 millions de dinars a été inscrite au budget supplémentaire 2014. La wilaya d'Alger dispose d'un programme de résorption de l'habitat précaire doté de 84 000 logements, dont 25 000 sont en cours de distribution et 11 000 devant être réceptionnés avant la fin 2014. Les responsables de la wilaya d'Alger veulent éliminer complètement les bidonvilles de la capitale. Les habitations précaires sont estimées à 72 000 dont 16 000 dans les anciennes fermes coloniales.