- Confusion de noms à la Chaîne III La Chaîne III de la radio nationale s'est trompée, hier matin, et au moins à deux reprises, sur le nom du porte-parole du ministère des Affaires étrangères. Au lieu de Abdelaziz Benali Cherif, deux journalistes de cette chaîne francophone ont cité Abdelaziz Belani sans que l'erreur ne soit corrigée. Il s'agit probablement de la confusion entre l'actuel porte-parole et son prédécesseur, Amar Belani, actuellement ambassadeur d'Algérie à Bruxelles. Pourtant, la dépêche de l'APS qui a rapporté les propos du responsable et servi de source à tous les médias, a bien mentionné son nom, Abdelaziz Benali Cherif. S'agit-il de l'effet de jeûne ? Peut-être. Mais entre-temps, les auditeurs n'ont pas la vraie information. - Arrestation de deux faussaires à Blida... Deux personnes accusées de falsifier la monnaie algérienne viennent d'être arrêtées à Beni Mered (Blida) par les éléments de la sûreté de daïra d'Ouled Yaïch. Agissant sur information faisant état de l'existence de deux ressortissants africains qui escroquaient leurs victimes avec de la fausse monnaie, les policiers ont mis en place une souricière et ont pu arrêter les deux coupables, à 3 heures, alors qu'ils circulaient à bord d'un véhicule touristique loué. Après perquisition de la voiture, les mêmes éléments ont trouvé une boîte contenant du papier peint en noir emballé dont quatre billets de 1000 DA. Selon le communiqué de la sûreté nationale de Blida, les coupables utilisaient du papier et un liquide noir pour falsifier la monnaie et ils ciblaient au préalable leurs victimes avant de passer à l'action. ... et de six personnes dont un médecin pour trafic de psychotropes Les services de la sûreté de wilaya de Aïn Témouchent ont procédé, en fin de semaine écoulée, à l'arrestation de six personnes dont un médecin pour trafic de psychotropes et de drogue, dans trois affaires différentes, selon un communiqué de la sûreté publié hier. Dans la première affaire, les éléments de la brigade de recherche et d'investigation (BRI) de Aïn Temouchent ont arrêté, en flagrant délit, le nommé M. K. A. (50 ans) en possession de 101 comprimés d'anxiolytiques ; il écoulait des comprimés avant l'iftar auprès de jeunes à la place Belaïd Hasnia du chef-lieu de wilaya, a-t-on indiqué. Le mis en cause qui était, également, en possession d'un montant de 3360 DA, produit de son trafic, a prétendu avoir acquis ces comprimés auprès d'un pharmacien sur présentation d'une ordonnance délivrée par un médecin, selon la même source. Cette ordonnance de complaisance comportait une prescription pour un mois, soit 36 boîtes, a-t-on ajouté. Présentés devant le parquet de Aïn Témouchent, le dénommé M. K. A. a été placé sous mandat de dépôt et le médecin a fait l'objet d'une citation directe. Un autre individu, le nommé B. A. (59 ans), surpris en flagrant délit de revente de 27 comprimés d'anxiolytiques, a été placé sous mandat de dépôt, a-t-on encore indiqué. Le même sort a été réservé, par ailleurs, aux nommés M. B. (30 ans) et B. H. (30 ans) qui étaient en possession d'une quantité de kif traité et de 7510 DA, fruit de leur trafic. - La casquette interdite à l'hôtel El Djazaïr Invraisemblable : le port de la casquette est interdit à l'hôtel El Djazaïr (ex Saint-Georges). En effet, les agents de sécurité nous ont demandé de retirer notre casquette, suite à une note de leur direction générale. Une note qui va à l'encontre du bon sens et de la liberté individuelle alors que, dans d'autres pays, le port de la casquette est toléré et ne dérange nullement la sécurité de l'établissement ou la quiétude des clients. Au fait, cette note est-elle applicable aux étrangers logeant dans cet hôtel ?