- Relogement des occupants des F1 à Chlef Le rêve est devenu réalité pour les 946 familles occupant les logements sociaux F 1 à Chlef. En effet, la wilaya a procédé récemment au relogement de cette catégorie de locataires dans des F3 et F4 dans les villes nouvelles de Chorfa et Haï Bensouna. L'opération a concerné dans un premier temps 170 familles des cités Charra et Moussalaha,dans le chef-lieu de wilaya. Les autorités locales ont décidé de poursuivre le dispositif jusqu'à l'éradication totale des logements F1, notamment au siège de la wilaya, qui concentre le plus grand nombre de ce type d'habitat. Les bénéficiaires ont exprimé leur joie et leur satisfaction quant à la prise en charge de leur revendication par l'administration centrale et locale. - Le cadavre d'un pêcheur disparu retrouvé à El Marsa Le cadavre d'un pêcheur a été retrouvé, jeudi soir, au large d'El Marsa, à 20 km à l'ouest de Ténès, par l'équipage d'un chalutier, qui a aussitôt alerté les gardes-côtes. Le corps a été transporté jusqu'à la morgue de l'hôpital de Ténès pour identification. Il s'agit probablement du cadavre de l'un des pêcheurs disparus récemment en mer, dans la wilaya de Tipasa. Il faut rappeler que cinq marins pêcheurs avaient disparu le 30 octobre dernier au large de Bouharoun. - Le Bayern franchit la barre du million de maillots vendus Le Bayern Munich a franchi, pour la première fois, la barre du million de maillots vendus la saison dernière, avec un nouveau record établi à 1,3 million, selon un membre du directoire du double champion en titre. «La saison dernière, on a vendu 1,3 millions de maillots, soit plus que tous les autres clubs de la Bundesliga réunis. C'est un nouveau record», a déclaré le dirigeant Andreas Jung à la chaîne allemande Sport1, assurant qu'aucun club dans le monde n'a autant vendu sur son «propre marché national». Selon Jung, «aucun joueur n'est particulièrement ciblé» par les supporters cette saison, «ce qui montre l'attractivité de l'équipe». Si le maillot de Mario Götze «s'est très bien vendu après son but en finale de la Coupe du monde, les néo-Bavarois Xabi Alonso et d'autres ne sont pas en reste». «Et aucun maillot de gardien de but n'a encore été aussi prisé que celui de Manuel Neuer», a souligné le dirigeant, sans détailler les ventes individuelles. - Michelle Bachelet évoque sa détention dans les geôles de Pinochet La présidente du Chili, Michelle Bachelet, a évoqué, jeudi soir à la télévision, les tortures qu'elle a subies pendant la dictature d'Augusto Pinochet et expliqué comment la maturité l'avait aidée à se réconcilier avec le passé. La Présidente socialiste, alors militante clandestine, a été arrêtée en 1975 par la police politique avec sa mère Angela Jeria et détenue à la Villa Grimaldi, un centre de torture du régime militaire, à Santiago. «J'ai essentiellement souffert de torture psychologique, et de quelques coups, mais ils ne m'ont pas mise sur le gril (une pratique consistant à infliger des chocs électriques à une victime attachée à un sommier métallique, ndlr)», a confié Mme Bachelet à la chaîne de télévision Chilevision. Des milliers de personnes ont été détenues dans la Villa Grimaldi, dont 236 ont été exécutées ou sont toujours portées disparues. «J'ai eu de la chance, comparé à tant d'autres, beaucoup sont morts», a-t-elle ajouté, habituellement très réservée sur ce sujet. Son père, le général Alberto Bachelet, a également été arrêté pour être resté fidèle au gouvernement du socialiste Salvador Allende, renversé en 1973. Le général Bachelet est mort sous la torture de ses propres subalternes en 1974. Sa fille et sa veuve ont pris le chemin de l'exil après leur libération. «Au départ, j'éprouvais beaucoup de colère, une douleur infinie», a ajouté la Présidente. «J'étais indignée. Je ne me serais pas imaginée dialoguant avec des personnes avec lesquelles j'ai ensuite été capable de dialoguer», a poursuivi celle qui a été ministre de la Défense avant son premier mandat présidentiel. Mme Bachelet, aujourd'hui mère célibataire, a également évoqué son compagnon à l'époque du coup d'Etat, le dirigeant socialiste Jaime Lopez Arellano, toujours porté disparu. «Je serais enchantée de savoir ce qui lui est vraiment arrivé : s'il a disparu, s'il est mort, s'il est ailleurs».