Les problématiques pendantes des zones arides sont au centre de débats à l'université de Ghardaïa, qui a regroupé les 9 et 10 décembre courant, dans une rencontre internationale, bon nombre de chercheurs, cadres universitaires, venus de plusieurs universités nationales et de sept autres universités étrangères dont la France, Belgique, Tunisie, Congo, Nigeria, Gabon. En effet, parmi les questionnements auxquels les participants œuvreront à trouver des solutions lors de cette rencontre, il s'agit de trouver les meilleures façons à exploiter les caractéristiques naturelles de ces zones arides et pauvres, des points de vue économique et écologique. Le président de conseil scientifique de ce congrès, Mohammed Tahar Ben Hlilet, qui n'est autre que le recteur de ladite université, trouve en ce rendez-vous international une occasion incontournable pour ces experts afin de cerner cette thématique de milieu aride, et ce, par explorer tous ses aspects fragiles et vulnérables tout en consacrant un temps suffisant pour déboucher sur des conclusions fertiles en matière d'enseignements et utiles pour les régions de sud en particulier et toutes les régions de pays en général.