- Un Iftar avec Emirates La compagnie aérienne Emirates Airlines a organisé dimanche dernier à l'hôtel Hilton (Alger) un Iftar pour les journalistes. Cette rencontre a permis de présenter Maya Zouggar, la nouvelle directrice générale d'Emirates Algérie. Emirates a débuté ses vols en direction d'Alger le 1er mars 2013. Un Airbus A340-300, compartimenté en 3 différentes classes est affecté au vol Dubaï-Alger, 42 en classe affaires et un espace pouvant accueillir 213 passagers en classe économique. Elle opère actuellement avec une flotte de plus de 230 appareils, composé de 219 avions de ligne et de 14 cargos Airbus et Boeing. La flotte est l'une des plus récentes, la moyenne d'âge de ses appareils est inférieure à 80 mois. Emirates emploie plus de 90 Algériens qui exercent en qualité de personnel navigant, personnel au sol, ainsi que dans des postes de gestion et d'administration. - Satire sur le site du ministère de la Communication Le site du ministère de la Communication a consacré une grande partie de sa revue de la presse à l'article d'El Watan sur les sites satiriques, publié dans son édition du 12-07-2015 sous le titre «Attention, parodies à la une». Seulement, dans cette revue de la presse, le site du ministère a déformé le contenu de l'article en question qui traite des parodies d'informations publiées par ces sites humoristiques, en précisant clairement que ces publications sont fausses. Ainsi, l'interprétation douteuse donnée par le ministère est qu'El Watan met «l'accent sur la menace que représentent les sites satiriques d'information». Il n'est pourtant à aucun passage de l'article fait mention ou sous-entendu de «menaces» que représenteraient ces sites (bien au contraire). La seule «menace» relevée par l'article est celle que font peser sur le journalisme les médias qui reprennent les informations de ces sites satiriques, et ce, sans vérifier leur véracité. Erreur d'interprétation ou manipulation de la part du ministère ? - Des journalistes d'Echourouk News licenciés pour avoir réclamé leurs primes Quatre journalistes, un monteur et un technicien de son d'Echourouk News ont été licenciés par la direction de la chaîne après avoir marqué un arrêt de travail dans la soirée du jeudi 9 juillet 2015. «Nous voulions protester contre le non-payement de nos primes depuis sept mois. A chaque fois nos demandes sont restées lettre morte. On se moquait de nous. Nous voulions voir le directeur général du groupe (Ali Fodhil) pour qu'il nous parle. Or, à peine la discussion commencée que la directrice de la rédaction (Leïla Bouzidi) est venue et lui a demandé de nous mettre à la porte sans aucun respect ni pour nous, ni pour notre métier», a déclaré un journaliste. Les six professionnels étaient, selon lui, employés sans contrat de travail. «Nous n'avons même pas droit au repos tel que prévu par la loi. Nous assurons la brigade de nuit de 21h à 5h du matin pendant cinq jours», a-t-il précisé. La direction de la chaîne a pris la décision de licencier les journalistes pour «grève sans préavis» et pour ne pas avoir assuré «la préparation des journaux de la nuit».