Emirates Airlines, l'une des compagnies les plus dynamiques au monde, a annoncé le lancement d'offres spéciales pour ces vacances d'été au départ d'Alger pour les voyages en classe affaire et économique à une sélection de destinations vers des îles paradisiaques et l'Asie. Les offres s'appliquent aux réservations entre le 21 juillet et 5 août 2015, pour un voyage entre le 21 juillet et le 15 septembre 2015, à l'exception de Bangkok et Kuala Lumpur, qui sera du 1er au 30 septembre 2015. Ces tarifs spéciaux pour un aller-retour commencent à partir de 108 000 DA pour l'île Maurice, 104 000 DA pour les Seychelles, et 99 000 DA pour Malé (Maldives). Jakarta est disponible à partir de 93 000 DA, Kuala Lumpur c'est à partir de 88 000 DA et Bangkok à partir de 84 000 DA, comme on peut voyager vers Shanghai à 230 000 DA et Hong Kong à 227 000 DA (classe affaire). Ces offres exceptionnelles permettront aux clients en Algérie de visiter et d'explorer quelques-unes des destinations les plus fascinantes du monde à des prix attractifs. L'Asie est l'une des régions les plus riches et les plus diversifiées sur la planète. Son histoire culturelle fascinante et ses traditions anciennes offrent un contraste imagé avec ses villes modernes et sa technologie de pointe. Quant aux îles citées plus haut, elles sont parmi les destinations les plus populaires et attractives pour les voyageurs à la recherche d'un endroit pour passer leurs vacances au repos et dans le calme. Par ailleurs, Emirates propose aussi 5 vols par semaine reliant Alger-Dubaï, à bord d'un appareil Airbus A340-300, pouvant accueillir 42 passagers en classe affaire et 213 en classe économique. En outre, un espace clientèle de 150 m² dédié aux clients en Algérie a été aménagé au niveau de la tour ABC, Pins maritimes, Alger, afin de leur assurer un confort et un accueil chaleureux. Ces offres viennent confirmer aussi que la bataille du ciel se joue dans un fauteuil : celui de la classe «affaire», la «business» comme on la nomme à l'international. Dans les airs, la bataille entre compagnies aériennes se joue d'abord autour de cette classe. Celle-ci n'est pas seulement une vitrine mais une machine à cash-flow qui génère plus d'un tiers du chiffre d'affaires et parfois bien davantage : pour certains acteurs du marché, les activités «première» et classe «affaire» représentent plus de la moitié des recettes sur les longs-courriers.