La cité des 68 logements, au centre de la ville, ceinturée par les institutions publiques, en l'occurrence la BNA, la BDL, La CNEP, la CASNOS, la CNAC, la CNL et le bureau d'El Watan, est constamment inondée. Cette situation n'est pas sans provoquer des désagréments pour les employés, les passants et les véhicules mais aussi un gaspillage de la précieuse ressource hydrique. Depuis plusieurs mois, les riverains excédés se sont plaints et adressés aux services concernés pour signaler cette intolérable situation, en vain. La police de l'Urbanisme et de la protection de l'Environnement (PUPE), siégeant au niveau de la commune et chargée de réprimer ces abus, a été avisée mais apparemment aucune mesure appropriée n'a été jusqu'ici prise pour remédier à cet état de choses. Selon les riverains, l'origine de l'incurie se situe au niveau des fuites d'eau provenant des réservoirs installés sur les terrasses des bâtiments, dont les propriétaires où locataires font peu cas de civisme en procédant à la réparation de leurs réservoirs. Résultat : L'eau coule abondamment (à l'heure de son arrivée) des tuyaux d'écoulement apparents, suintant à travers les murs des bâtisses neuves, soumises à l'épreuve de l'érosion. Jusqu'à quand cette situation va-elle durer ? S'interrogent les riverains.