- Commune de Ben Aknoun : Projets d'aménagement dans les cités L'APC de Ben Aknoun a lancé nombre de projets dans le cadre de son programme d'action. Outre les travaux engagés au niveau du stade communal et qui ont permis de réhabiliter la structure, l'APC de Ben Aknoun vient de se doter d'un nouveau siège. «Le nouveau siège de l'APC sera bientôt réceptionné. Les travaux ont nécessité une enveloppe budgétaire de 32 milliards de centimes», confie le P/APC, M. Bouaraba. Quant aux travaux engagés pour réhabiliter le stade communal, ces derniers sont en phase finale. «Le stade a été doté de salles sous les tribunes, destinées à la pratique de la gymnastique. Reste à accomplir les travaux d'aménagement, tels que la pose du gazon synthétique et la réalisation du circuit d'athlétisme», assure-t-il. S'agissant des aménagements dans les cités et lotissements d'habitation, M. Bouaraba dira : «Nous avons lancé des travaux pour la réalisation d'espaces verts dans différents quartiers de la commune, notamment au niveau de la cité des 360 Logements, la cité Malki, la cité des 142 Logements et au niveau de la RN43.» Signalons que certains la réailsation de certains projets d'aménagement sont tributaires de la fin des travaux de dédoublement de la RN36, qui sont en cours. Ces travaux consistent en la réfection des trottoirs, la réalisation d'espaces verts, etc. - Commune de Bachdjerrah : Les marchands informels indéboulonnables Les habitants de Bachdjerrah continuent de subir au quotidien les méandres d'une situation très pénalisante. Les vendeurs informels, qui ont élu domicile durablement dans les entrailles de la cité et aux abords du marché de fruits et légumes, continuent d'exercer leurs activités commerciales illégales en toute impunité. Les multiples opérations d'éradication qui ont été menées par le passé n'ont servi à rien, puisque l'anarchie et le désordre ont repris de plus belle, altérant de surcroît le cadre de vie des résidants. En plus de l'insalubrité et de la pollution sonore qui émane du marché informel, les résidants sont pris en otages par les marchands qui, par leur présence, entravent même les déplacements des habitants. Le relâchement de la surveillance par les services de sécurité et les autorités locales a permis le retour des marchands qui, avec leurs étals de fortune, ont réinvesti les moindres espaces attenants au marché de fruits et légumes. «Toutes les artères et venelles qui ont été libérées de l'emprise des marchands informels ont été réoccupées par ces mêmes marchands, altérant de surcroît notre qualité de vie», confie un habitant.