Des voitures sont garées à longueur de journée des deux côtés de la chaussée, provoquant souvent des situations inextricables. A Chebli (wilaya de Blida), il est difficile de trouver un endroit où garer sa voiture pendant la journée. On stationne comme on veut, pour ceux qui se lèvent tôt, et sans aucun respect du code de la route, et comme on peut, pour les autres ! Les véhicules sont garés, tôt le matin, sur les deux côtés de la chaussée, impunément. Certains viennent (avant 8h, pour être sûrs de trouver une place) ranger leur voiture au bord du trottoir de leur choix, parfois devant un garage, gênant ainsi l'entrée et la sortie du matériel roulant de son propriétaire, et s'absentent pour la journée. Au carrefour principal, faisant office de centre-ville, là où se croisent les voies Birtouta-Bouinan et Boufarik-Sidi Moussa, et où se trouvent la placettes, le martyrologe et la mairie, le stationnement est infernal. Des voitures sont garées à longueur de journée des deux côtés de la chaussée, provoquant souvent des situations inextricables. De gros camions, de véritables monstres d'acier, se trouvent parfois bloqués, incapables d'avancer ou de reculer, immobilisant ainsi la circulation dans tous les sens. Les mêmes scènes se répètent presque chaque jour, aucune décision n'est prise, aucune amélioration n'est apportée à cette situation qui dure depuis quelques années (pour ne pas dire depuis toujours !). Un commissariat de police a été construit et attend d'être inauguré. Il aurait dû être livré depuis longtemps. «Avec la police, espèrent les plus optimistes, l'ordre reviendra. Le stationnement sera réglementé, les dérives réprimées et Chebli pourra, enfin, respirer». L'ordre se fait attendre à Chebli, ne serait-ce qu'au niveau du stationnement des véhicules dans le centre-ville.