- Cité AADL à Bab Ezzouar : Ascenseurs en panne Les habitants de la cité AADL (cité de la Concorde) Bab Ezzouar 2 sont sans ascenseur depuis très longtemps. «Nous avons sollicité l'intervention de la société de gestion immobilière de l'AADL, pour régler le problème. Cependant, nous n'avons eu aucune réponse, hormis le fait de patienter», confient des locataires de la cité. Et de poursuivre : «Nous lançons un appel aux responsables de l'AADL afin qu'ils règlent ce problème, d'autant plus que la plupart des utilisateurs de l'ascenseur sont de vieilles personnes et des malades.» D'autres cités AADL de la capitale connaissent le même problème, à l'instar de la cité les Bananiers, où les ascenseurs fonctionnent généralement par intermittence. «Au dernier étage habite un locataire infirme. Pour le faire descendre de son appartement, il faut au moins quatre personnes. Comme les gens ne sont pas toujours disponibles, notamment durant la journée, il arrive que notre voisin handicapé passe plusieurs semaines cloîtré chez lui», témoigne un locataire. - Lotissement Ben Merabet : Les habitants réclament le revêtement en bitume Les habitants du lotissement Ben Merabet, dans la commune de Bordj El Kiffan, déplorent le manque d'équipements publics et d'aménagements urbains dans leur quartier. Entre autres problèmes rencontrés par les habitants, l'état des routes qui sont dans leur majorité impraticables. «Les routes secondaires qui se trouvent aux abords de la route nationale n'ont pas été goudronnées. En hiver, nous pataugeons dans la boue, et en été nous faisons face à la poussière», confie un habitant du lotissement. Les habitants déplorent également le manque d'espaces verts et d'aires de jeu pour leurs enfants. «Dans notre quartier, il n'y a pas de place pour les aires de jeu ou les stades de proximité», assurent-ils. «L'APC de Bordj EL Kiffan, dont dépend notre quartier, s'est limitée à refaire le revêtement de quelques artères principales, les ruelles et venelles qui se trouvent dans les quartiers et lotissements d'habitation sont négligées», ajoutent-ils. «Nous lançons un appel au nouveau staff communal afin qu'il prenne en charge nos doléances» lancent-ils