En ce début de saison estivale, la plage Franco commence, comme chaque été, à drainer les amoureux de la grande bleue. De petites échoppes de fortune ont été dressées aux abords de la plage publique par des jeunes qui tiennent à noyer leur oisiveté en s'adonnant à la cuistance. Ainsi, l'espace de deux ou trois mois, des services de mangeaille et autres sont proposés aux estivants. Soit. Mais le problème dont se plaignent les riverains est que certains « tenanciers » de ces baraques n'éprouvent aucune gêne à transformer « l'activité commerciale » en un lieu de débauche et d'immoralité, où prostitution clandestine, drogue et alcool se côtoient. « C'est scandaleux ! », n'ont de cesse de répéter les pétitionnaires furibards qui attendent une action palpable de la part des autorités aux fins d'éradiquer ces pratiques de grossière indécence.