Les piétons qui empruntent la route du phare, notamment les quelque 1 500 écoliers qui fréquentent le lycée Mouffouk Abdelkader et le CEM Mohamed Ziani sont confrontés à de gros risques inhérents à la circulation qui devient de plus en plus intense. D'autant plus que ce tronçon routier, situé à la rentrée ouest de la ville, enregistre un trafic dense de véhicules appartenant aux contrebandiers de carburant qui n'observent aucun respect du code de la route. Le danger est imminent aux heures de pointe, particulièrement au niveau du pont Ghazaouana dont l'étroitesse des accotements réservés aux piétons contraint ces derniers à s'aventurer sur la chaussée et à s'exposer à tous les risques de la circulation automobile. Alors que les travaux de soutènement pour la réalisation d'une passerelle métallique au niveau du pont en question sont achevés depuis plus de trois mois, la pose de la passerelle n'est pas encore matérialisée.