Amar Tou offre des tabliers de cuisine à l'occasion du 8 mars Alors que l'Organisation internationale du travail (OIT) célèbre la Journée internationale de la femme autour d'un thème unique, relatif à la place des femmes dans le monde du travail, à savoir l'émancipation des femmes, sous le slogan « Un travail décent pour les femmes : un droit pour elles, un bien pour tous », le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a offert aux cadres femmes, à l'occasion de cette journée, des tabliers de cuisine, une manique pour le four et un panier à pain. A travers ce « cadeau humiliant », on comprend que Amar Tou suggère aux femmes de retourner à leurs fourneaux. De l'indignation au ministère de la Santé. La CCFC honore des femmes journalistes La Confédération des cadres de la finance et de la comptabilité a voulu marquer la Journée internationale de la femme en décernant des distinctions d'honneur professionnel à des femmes journalistes. Ainsi, Nadjia Bouaricha journaliste à El Watan, Oum El Kheir Boussaïdane journaliste à la Chaîne III, Hanane Himeur journaliste à El Massa ainsi que Hafedha Ameyar de Liberté ont été honorées en recevant des prix de reconnaissance pour le travail fourni en faveur de la promotion de l'économie et des finances. La cérémonie qui a eu lieu hier au siège du ministère des Finances a été aussi l'occasion de distinguer des femmes cadres appartenant au secteur des finances. Des diplômes de mérite ont été décernés à plusieurs cadres en présence de hauts responsables du ministère. Un kidnapping imaginaire à Djelfa ! Un homme, la quarantaine, n'a pas donné signe de vie depuis la matinée de lundi dernier, alors qu'il était au marché hebdomadaire des bestiaux. Ne le voyant pas revenir dans la journée, sa famille accrédite immédiatement la thèse de l'enlèvement car, ce jour-là, il devait vendre une bonne partie de son cheptel. Mais ce qu'elle ignorait par contre, c'est que le produit de cette vente devait servir à éponger une dette de 900 000 DA. A l'évidence, c'est contraint et forcé qu'il dut recourir à cette transaction. Coup de théâtre, le jeudi, il se présente au commissariat pour informer de sa libération imaginaire, après que ses soi-disant ravisseurs l'eurent dépouillé de son argent. Le fin mot de cette histoire est, que cette personne astucieuse, ne voulant pas s'acquitter de sa dette, a échafaudé ce stratagème dans le but d'ameuter sa tribu et de l'amener dans un élan de solidarité collective à rassembler cette somme. Il aura ainsi conservé l'argent de la vente et aurait obtenu à la fois l'équivalent pour mettre fin au harcèlement de son créancier. Autrement dit, l'ovin et l'argent de l'ovin. Décès mystérieux dans un taxiphone Un homme âgé de 50 ans a été retrouvé jeudi matin mort dans un taxiphone, non loin de la gare ferroviaire de Blida. D'après des échos, ce quinquagénaire, simple travailleur au niveau de ce kiosque multiservices, n'avait pas donné signe de vie depuis plusieurs jours. Cela avait obligé les riverains à ouvrir le taxiphone et de se retrouver alors surpris devant le spectacle de la dépouille mortelle. Alertés, les éléments de la Protection civile de Blida avaient transféré le corps sans vie du quinquagénaire vers la morgue. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de cette mort mystérieuse.