Responsables d'institutions, d'organismes et d'entreprises nationales publiques ou privées à vos marques ! La 6e édition du Prix algérien de la qualité a ouvert sa liste aux candidatures depuis hier, et ce, jusqu'au 31 juillet prochain. C'est ce qu'a indiqué Belkacem Djaballah, directeur de la qualité et de la sécurité industrielle au ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements, au siège de BCR à Alger. Lancé en 2003 par le ministère de l'Industrie, le prix en question se veut une référence, voire un guide, qui donnera aux grandes entreprises et autres institutions la possibilité de mettre le doigt sur les points forts de leurs démarches en matière d'amélioration de la qualité. Il vise notamment à encourager l'effort de la qualité. Selon M. Djaballah, l'évaluation, qui se fera sous la houlette d'un jury de sélection composé de dirigeants d'entreprise, d'universitaires et de professionnels de la qualité de la gestion, portera spécialement sur les actions engagées et les performances enregistrées durant l'année 2007. Les membres du jury seront appuyés par une équipe d'évaluateurs qualifiés. L'évaluation préliminaire consiste en une visite des membres du jury sur le site. Les entreprises et institutions participantes seront notées sur un total de 1000 points. Les paramètres de l'engagement de la direction, la stratégie et les objectifs, les écoutes des clients seront, entres autres, pris en compte dans l'évaluation. Les candidats désirant se mettre en lice devraient disposer de la certification ISO 9000 (management et qualité) et ISO 14 000 (environnement). L'heureux gagnant recevra une récompense symbolique de 2 millions de dinars, un trophée honorifique et un diplôme d'honneur. La cérémonie de remise du prix aura lieu le 19 décembre prochain, à l'occasion de la célébration de la Journée nationale de la normalisation. Pour rappel, le prix algérien de la qualité a été institué dans le cadre de la mise en œuvre du programme pour le développement d'un système national de normalisation, approuvé par le gouvernement en mars 2000.