La dysfonction érectile et sa prise en charge » a été le thème central d'une conférence organisée à Alger, au profit de médecins généralistes de la région d'Alger. La dysfonction érectile, autrefois appelée « impuissance », reste encore un sujet tabou que les patients n'osent toujours pas aborder en Algérie, alors que des traitements existent et que les patients souffrant de ce trouble peuvent retrouver une vie sexuelle normale. Il suffit qu'ils consultent leur médecin. Dr Youcef Khodja, urologue à Alger, a mis l'accent sur l'importance du diagnostic de la dysfonction érectile, car ce trouble est souvent associé, selon lui, à des maladies telles que le diabète et l'hypertension artérielle (HTA). Aujourd'hui, le médecin algérien, a-t-il ajouté, dispose de plusieurs alternatives thérapeutiques incluant les nouveaux traitements, comme le Cialis par exemple. Le Cialis, avec sa durée d'efficacité de 36 h, permet, en plus de son efficacité, de réduire les difficultés liées à une planification trop contraignante des anciens traitements. Il permet ainsi au patient plus de spontanéité et moins de pression du temps. L'efficacité du Cialis a aussi été démontrée chez des patients réputés difficiles à traiter, comme les patients diabétiques. A noter que ce médicament est cependant formellement contre-indiqué chez les patients cardiaques qui consomment des médicaments appelés dérivés nitrés, et chez les patients cardiaques pour lesquels l'activité sexuelle est déconseillée. C'est donc au médecin d'évaluer le risque cardiaque potentiel chez ces patients avant de prescrire ce médicament. Le Cialis connaît actuellement un vif succès dans le monde, notamment en France, en Allemagne, en Italie et en Belgique, mais aussi dans les pays arabes, comme l'Arabie Saoudite, le Koweït et la Jordanie.