Passation de consignes au consulat de Montpellier Abdelhamid Harraïgue a procédé, hier, à la passation de consignes avec son remplaçant au consulat d'Algérie à Montpellier. Ce diplomate de carrière, selon un de ses proches collaborateurs, peut rentrer au pays le cœur léger, avec le sentiment du devoir accompli. Harraïgue a reçu plusieurs marques de reconnaissance de la part des autorités locales et du mouvement associatif, notamment la médaille de l'agglomération de Montpellier, la médaille de la ville de Palavas, la médaille de la cour d'appel de montpellier et la médaille de l'ordre des avocats de la même ville. Harraïgue a donc fait une forte impression. La diplomatie algérienne se porte bien. Le viol considéré comme un crime de guerre par l'ONU Le Conseil de sécurité de l'ONU vient d'adopter une résolution à l'unanimité, qui considère le viol des femmes ou de jeunes filles comme un crime de guerre lors d'un conflit. Le texte exige que toutes les parties mettent fin à tous les actes de violences sexuelles contre des civils. Dans certaines zones de guerre, le viol des femmes est devenue une pratique courante. Comme au Liberia, où une étude montre que sur 2000 femmes et jeunes filles 75% d'entre elles ont été violées pendant la guerre civile. L'ancien commandant de l'ONU en Ethiopie, le général néerlandais Patrick Cammaert, juge que désormais lors d'un conflit, « il est plus dangereux d'être une femme qu'un soldat de l'armée ». Selon la résolution, le viol de femmes en cas de conflits, peut être passible de la Cour pénale internationale, car il peut être considéré comme un crime contre l'humanité ou un élément constitutif d'un crime d'un génocide. Avoir plus de 10/20 et ne pas être admis Si pour le commun des mortels, la moyenne d'admission dans la classe supérieure est de 10/20, à l'école privée Shimsi de Ben Aknoun (Alger), l'admission semble obéir à des considérations extra-pédagogiques. Sinon comment peut-on priver de passage une collégienne dont la moyenne annuelle est supérieure à la moyenne requise, n'ayant fait l'objet d'aucune contrainte disciplinaire, et sans aucune note éliminatoire qui, éventuellement, pourrait expliquer une telle mésaventure ? Ainsi, si les écoles privées sont tenues de se conformer à la législation en vigueur, tel que spécifié par le décret exécutif n°04-90 du 24 mars 2004, fixant les conditions de création, d'ouverture et de contrôle des établissements privés d'éducation et d'enseignement, et dont l'article 3 spécifie que « l'établissement privé doit se conformer à la législation et à la réglementation en vigueur (…) », les secrets de l'admission en classe supérieure à Shimsi sont à élucider. Manque de tact Drôle de manière d'annoncer la mauvaise nouvelle au centre de correction du bac du lycée Ibn Rochd à Blida : on interpelle dimanche dans une salle une dame devant tous ses collègues et on lui lance à la figure : « Veuillez rentrer chez vous, votre père est mort ! » L'enseignante tombe immédiatement dans les pommes et aucun service de secours n'est alerté. Il aura fallu l'intervention d'un enseignant présent qui emmènera l'orpheline au domicile mortuaire. Et dire que c'est un environnement pédagogique où le savoir-faire devrait exceller. Le réseau monétaire en panne à Chlef Dans les sept établissements financiers (six banques et une recette postale), situés sur une distance de 100 m au centre de Chlef, vous ne trouverez aucun distributeur automatique de billets de banque qui fonctionne normalement. Soit la machine est « momentanément hors service », soit elle affiche un écran noir ou elle est carrément en manque de provisions. Les responsables des banques, quant à eux, évoquent souvent une « panne du réseau monétaire » qui serait indépendante de leur volonté. Dans tous les cas, le grand perdant est sans doute le citoyen qui est privé d'un moyen moderne et rapide de paiement des titulaires d'un compte bancaire et/ou de CCP.