Alger- La chambre d'accusation du tribunal d'Alger statuera le 29 septembre courant sur l'affaire des attentats du palais du gouvernement, dans laquelle sont poursuivit cinq accusés, parmi eux le frère du Kamikaz Merouane Boudina, alias « Moâd ben Djabel » qui est poursuivi pour non dénonciation. La chambre d'accusation statuera dans le dossier des attentats du palais du gouvernement le 29 septembre courant. Le frère du kamikaz Merouane Boudina poursuivit pour non dénonciation. La chambre d'accusation du tribunal d'Alger statuera le 29 septembre courant sur l'affaire des attentats du palais du gouvernement, dans laquelle sont poursuivit cinq accusés, parmi eux le frère du Kamikaz Merouane Boudina, alias « Moâd ben Djabel » qui est poursuivi pour non dénonciation. Ladite affaire a été transférée par le juge d'instruction du tribunal de Sidi M'hamed à l'issue des procédures qui ont durés deux années. La chambre d'accusation du tribunal d'Alger a programmée le dossier de l'affaire en question, relative aux attentats du palais du gouvernement pour le 29 septembre courant, qui a été reliée à la tentative d'attentat contre le domicile du directeur de la sûreté nationale, le colonel Ali Tounsi, dans laquelle était impliqué l'accusé « K. M. » qui avait acheté le véhicule destiné pour l'attentat et qui est liée à l'affaire de l'attentat du palais du gouvernement et à celle du siège de la sûreté urbaine à Bab Ezzouar. Le frère du kamikaz Merouane Boudina, alias « Moâd Ben Djabel » est poursuivi pour non dénonciation vu qu'il était de mèche dans tous les plans menés par son frère. Dans ses déclarations aux services de sécurité, selon des sources judiciaires, celui-ci aurait reconnu avoir eu plusieurs communication avec son frère et ce, juste avant l'attentat qui avait secoué le palais du gouvernement. Ce dernier est poursuivi pour non dénonciation alors qu'il avait nié, dans ses déclarations, avoir toute relation avec son frère. Le terroriste en fuite « A. Salem », est l'un des cerveaux des attentats contre le palais du gouvernement et la tentative d'attentat contre le domicile du directeur de la sûreté nationale, le colonel Tounsi. Ce dernier avait donné l'ordre à l'accusé « M. K. » pour l'achat des trois véhicules pour les terroristes comme une garantie pour être accepté au sein des groupes armés. Deux des véhicules ont été utilisés lors de l'attentat contre le palais du gouvernement et le quatrième véhicule qui est une BMW, celle-ci a été piégée devant le domicile du colonel Ali Tounsi et l'ancien siège de l'ambassade du Danemark. Selon des sources judiciaires à Ennahar, le terroriste « A. Salem » qui est poursuivit dans cette affaire était derrière l'assassinat de son père policier dans les années quatre-vingt-dix. Ce dernier avait comploté avec les terroristes pour descendre son père qui se trouvait alors chez lui. « A. Salem » est poursuivit pour appartenance à groupe terroriste avant d'être libéré dans le cadre de la loi sur la concorde civile. Il a ensuite rejoint les groupes terroristes avant d'être arrêté puis libéré une deuxième fois dans le cadre de la réconciliation nationale. Par ailleurs, et selon les mêmes sources, l'affaire sera programmée lors de la prochaine session criminelle, notamment après les aveux de l'accusé « M. K. » quant à l'acquisition des véhicules utilisés dans les attentats. D'autre part, le terroriste en fuite « A. Salem » était derrière les attentats et derrière les recrutements de nombreux repentis après les attentats sous le menace en exploitant la peur de ces derniers.