M. Anis Rahmani a affirmé que la chaine « Ennahar TV ne défend pas le gouvernement ou les ministres ». Beaucoup de gens se trompent et croient que « nous défendons les ministres...nous défendons l'Algérie, quant aux ministres, aujourd'hui ils sont à leurs postes et demain ils seront ailleurs » Le Directeur général du groupe Ennahar, Anis Rahmani, s'est exprimé ce mardi sur le progrès réalisé dans le classement par la chaîne satellitaire Ennahar TV. « Les instituts qui effectuent des études ne disposent pas d'outils et de systèmes qui leur permettent de confirmer la crédibilité des données, jusqu'à l'heure actuelle, tous les instituts étrangers adoptent des techniques connues dans le monde mais qui restent lentes et un peu dépassées », a-t-il fait savoir. Pour Le DG de la chaîne la plus regardée en Algérie, les élections présidentielles étaient une période difficile et un grand défi, surtout pour les citoyens qui craignaient un dérapage vers la violence. Il a souligné qu'Ennahar TV avait adopté des positions honorables, car, a-t-il dit « Ennahar TV sait ce qu'est le printemps arabe et est conscient des cheminements qui y mènent ». M. Anis Rahmani a, par ailleurs, affirmé que la chaine « Ennahar TV ne défend pas le gouvernement ou les ministres ». Beaucoup de gens se trompent et croient que « nous défendons les ministres…nous défendons l'Algérie, quant aux ministres, aujourd'hui ils sont à leurs postes et demain ils seront ailleurs » M. Rahmani a affirmé qu'Ennahar Tv se trouve, à des moments donnés, obligé de traiter les évènements d'un angle peu professionnel, mais il a toujours mis les intérêts de l'Algérie avant toutes autres choses ». Concernant les évènements qui ont suivit l'attaque contre Charlie Hebdo et les attentats de Paris, qui ont fait 17 morts et plusieurs blessés, M. Rahmani a déclaré que la chaîne « Ennahar TV n'avait pas attisé le feu, par contre, nous nous attendions à ce que le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa, appelle les imams à défendre le Prophète de manière pacifique, et c'était le minimum à faire demandé au ministre »