« L'accord bien qu'il ne réponde pas à toutes les demandes et ne satisfasse pas toutes les parties, est basé sur un équilibre et constitue une bonne base pour une paix durable et la réconciliation », a précisé Mongi. Il a ajouté que la réussite de cet accord dépendrait de la capacité des parties à transcender les barrières idéologiques, culturelles et politiques et à servir une cause commune, celle de la paix, facteur de stabilité, de progrès et de développement.