Djelab a fait savoir que grâce à l'institution des licences d'importation des véhicules, du ciment, du rond à béton... destinées avant tout au contrôle du commerce extérieur, l'Algérie a réalisé un gain de 4 milliards de dollars. « Notre objectif est de lutter contre le phénomène de surfacturation. Nous sommes en train de préparer un listing des produits sur lesquels il y a un doute de surfacturation », a-t-il dit.