Sécurité publique : Le 14 juillet 2003. Le ressortissant syrien M. M., 24 ans, en séjour irrégulier, procédait à des travaux de forage d?un puits au douar Ouled Chérif, commune de Oued-Taria, appartenant au nommé M. A. Les manches de sa chemise qui se sont accrochées à la courroie de la sonde en marche, l?on entraîné provoquant sa décapitation. Le corps du défunt a été déposé à la morgue de l?hôpital de Oued-Taria. À signaler que la victime travaillait avec deux autres Syriens en situation irrégulière. Avisés des faits, le procureur de la République près le tribunal de Ghris a prescrit l?ouverture d?une enquête pour séjour irrégulier à l?encontre des Syriens et emploi d?étrangers sans autorisation à l?encontre du nommé C. E. D., 31 ans, propriétaire de la sonde. La brigade de Gendarmerie nationale de Oued-Taria a ouvert une enquête. Chlef : Le 12 juillet 2003, les éléments de la brigade de la Gendarmerie nationale de Sidi Akacha ont présenté devant le procureur de la République près le tribunal de Ténès, le nommé A. A., âgé de 18 ans, pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, dont a été victime le nommé B. H. A., âgé de 71 ans. A la suite d?un différend, une rixe a éclaté entre la victime et le mis en cause dans un autobus en marche, au cours de laquelle le nommé B. H. A. est tombé du bus. La victime a été évacuée vers l?hôpital de Ténès, où elle a succombé à ses blessures. Le mis en cause a été écroué. Ouargla : Le 13 juillet 2003 s?est présenté, à la brigade de la Gendarmerie nationale de Ouargla, le nommé B. A. A., directeur adjoint du centre d?amplification et des télécommunications par satellite de Ouargla, pour déclarer le vol de dix-huit panneaux solaires du relais sis en bordure de la Route nationale n°49. Une enquête est déclenchée et suit en cours. Le guide suprême iranien n?est pas responsable de la cherté des voitures : Le cabinet du guide suprême de la République islamique d?Iran, Ali Khamenei, a jugé utile, fait rare, de démentir une croyance populaire selon laquelle il bénéficierait d?une lourde taxe qui serait à l?origine du prix élevé des voitures neuves. Une rumeur tenace à Téhéran, particulièrement dans le milieu des chauffeurs de taxi, veut que le prix élevé des voitures, même pour les bas de gamme, soit dû à une «taxe religieuse» que percevrait directement M. Khamenei, et qui s?élèverait à plus d?un tiers du prix de vente. De nombreux conducteurs se plaignent que la Paykan, fabriquée en Iran, selon un modèle conçu dans les années 1960 ne vale pas les 7 500 dollars qu?il faut débourser pour se l?offrir.