Charles Parlange, que l'on a présenté comme l'un des plus grands guérisseurs-magnétiseurs du XXe siècle, a fait des études qui ne le destinaient pas à devenir un «guérisseur aux mains miraculeuses». En 1925, il tombe malade et les médecins diagnostiquent une colite grave. Il est soigné, mais sa situation ne s'améliore pas et il doit traîner une maladie douloureuse qui va devenir chronique. En 1932, le mal s'aggrave et le patient est voué à une mort certaine, par épuisement. N'arrivant plus à supporter aucune nourriture, il perd rapidement du poids et des forces. aucun traitement ne le soulage. C'est alors que sa famille lui propose de consulter un magnétiseur. Il commence par refuser, puis, se disant qu'il n'a rien à perdre, il accepte. En quelques séances à peine, Parlange affirme avoir retrouvé la santé. il ne ressent plus de douleur et il peut de nouveau s'alimenter. Les médecins auraient constaté la guérison, mais sans pouvoir l'expliquer. Le magnétiseur a, non seulement guéri Parlange, mais il lui a révélé qu'il possédait lui-même des dons de magnétiseur. Le patient refuse de le croire. Le magnétiseur lui dit qu'il peut, avec le «fluide» qui émane de lui, putréfier de la viande à distance et guérir des malade. Il insiste tant qu'il finit par accepter de se soumettre à des tests pour mesure sa force sur des cultures microbiennes et des maladies incurables. Parlange était persuadé qu'il échouerait aux tests, mais toutes les expériences tentées ont (ou auraient) réussi.