A 78 ans, Bernie Ecclestone n'en finit pas de faire des vagues. Dans une interview publiée, avant-hier, samedi, dans les colonnes du Times, le grand patron de la Formule 1 avoue son admiration pour les dictateurs. Nouveau dérapage, ou nouvelle provocation. C'est selon. Habitué des déclarations tapageuses, le grand argentier de la F1 a encore faire fort ce week-end. Dans une interview publiée aujourd'hui par le Times, Bernie Ecclestone parle politique, expliquant qu'il préfère les dictatures aux démocraties et avouant son admiration pour Adolf Hitler. «C'est terrible à dire je suppose, mais à part le fait qu'Hitler s'est laissé emporter et persuader de faire des choses dont j'ignore s'il voulait les faire ou pas, il était en position de commander beaucoup de gens et d'être efficace», a-t-il expliqué. «A la fin il s'est perdu, donc il n'était pas un très bon dictateur. Si vous observez la démocratie, elle n'a pas fait beaucoup de bien à beaucoup de pays, dont celui-ci (la Grande-Bretagne, ndlr).»