L'attaquant anglais David Beckham, pris à partie, une nouvelle fois, par des supporters de son équipe de Los Angeles Galaxy samedi, a décidé de ne plus répondre à ce genre de provocations. L'ancien joueur de Manchester United et du Real Madrid, qui, malgré le but inscrit lors du match amical perdu face au FC Barcelone (2-1), a été une nouvelle fois sifflé par une partie des supporters de son club qui ont mal digéré son prêt à l'AC Milan en janvier dernier. «Un type a insulté ma femme (...) si quelqu'un insulte mes proches, vous pouvez être certain que je prendrai la défense de ma femme et de mes enfants», a averti Beckham, affirmant que «si jamais cela se reproduisait, je ne le regarderais même pas. Cela n'en vaudrait vraiment pas la peine», a ajouté l'ex-Galactique. «Sur les 93 000 personnes qu'il y avait ce soir (record d'affluence pour un match aux Etats-Unis depuis le Mondial-1994), 95 ou 97% d'entre eux étaient incroyables. Mais bon, il y a toujours une minorité et c'est la vie», a-t-il conclu. M. United dément avoir tenté de «voler» Pogba au Havre et a fermement démenti, hier dimanche, les accusations du Havre (Ligue 2 française ) selon lesquelles le club anglais tenterait de «voler» l'un de ses grands espoirs, Paul Pogba, âgé de 16 ans, capitaine de l'équipe de France de sa catégorie. «Toute cette histoire est complètement absurde. Tout a été fait en respect avec les règles de l'UEFA», a déclaré un porte-parole de Manchester United sur BBC Sport. Le club français a accusé vendredi le champion d'Angleterre et son manager Sir Alex Ferguson de tenter d'enrôler le jeune international français en usant de méthodes douteuses. Les dirigeants normands ont notamment accusé le club anglais d'avoir offert «d'importantes sommes d'argent» aux parents du jeune Pogba pour les convaincre de rejoindre l'Angleterre.