Résumé de la 7e partie n Le jeune homme rencontre un berger : il veut l'envoyer pour lui acheter de la nourriture, mais le berger lui dit que son argent n'a plus cours ! Il se lève. — C'est dommage que mon âne se soit sauvé ! Le berger montre le tas d'os et les restes du bât. — Ce n'est pas ton âne, qui est là ? — Tu es fou ! ce vieux tas d'os est là depuis au moins un siècle…Mon âne était là, il y a à peine une heure ! Le jeune homme, plein de mépris pour le berger, s'en va. Il arrive au village. Il va dans une boutique où des fruits sont exposés. — Tes fruits sont beaux, dit-il au marchand. Celui-ci sourit. — Tu es étranger, toi… — Je suis du pays ! L'homme s'étonne. — D'ici ? — Non, de tel village… — Je le connais bien… j'ai des amis qui y habitent ! — Peut-être que je les connais… Le marchand lui cite des noms. — C'est curieux, je ne les connais pas… — Ah bon, même Si Tahar, le forgeron ? — Je connais un seul forgeron et ce n'est pas ce Tahar ! C'est curieux… — Peut-être que nous ne parlons pas du même village ! Le marchand sourit encore. — Cela ne fait rien, mais cela ne va pas m'empêcher de te faire un prix ! L'homme hoche la tête. — Eh bien, donne-moi ce fruit, celui-là et celui-là… — Bien ! L'homme tire sa bourse et donne quelques pièces au marchand. Celui-ci regarde la monnaie et s'écrie. — Qu'est-ce que ces pièces ? — C'est pour les fruits… Il n'y en a pas assez ? — Non, ce n'est pas ça ! — Alors, où est le problème ? — Cet argent n'a plus cours ! — Quoi ? Mais il avait cours quand je suis parti de chez moi ! Mais le marchand est catégorique. — Je regrette, mais il n'a plus cours depuis un siècle ! — Un siècle ? L'homme doit renoncer aux fruits et s'en aller ! (à suivre...)