Oran - Quelque 80 logements sociaux squattés à Misserghine (Oran) ont été évacués samedi, a indiqué le président d'APC. Les autorités locales se sont rendues sur les lieux et ont appelé les indus occupants à faire preuve de sagesse et à libérer les logements. Ces logements sociaux, qui font partie d'un programme de 160 unités en cours de réalisation par l'OPGI à haï Zabana dans la localité de Misserghine et qui n'ont pas été réceptionnés, ont été occupés illégalement samedi matin. Les indus occupants issus de la localité « ont agi de la sorte sur la base d'une rumeur qui aurait circulé faisant état de l'établissement dÆune liste de bénéficiaires qui ne résident pas dans la commune ». Tindouf - Un parc culturel, parmi les cinq autres existant au niveau national, vient d'être créé dans la wilaya pour la protection du patrimoine matériel et immatériel de la région. Ce parc culturel, doté d'un siège et d'une enveloppe budgétaire de près de 80 millions DA, permettra un recensement de toutes les informations inhérentes au patrimoine matériel et immatériel de la région. Une fois réalisé, ce parc mettra en valeur le riche patrimoine culturel et naturel de la région, à la satisfaction de toutes les parties intéressées, notamment en l'absence « quasi-totale » de recherches scientifiques sur le patrimoine de la région de Tindouf. Biskra - Une vaste opération de recueil de témoignages vivants et d'objets liés à la guerre de Libération nationale vient d'être lancée à Biskra par le musée régional du Moudjahid de la wilaya VI historique. L'initiative qui relève des actions fondamentales du musée, consiste notamment à enregistrer les témoignages d'acteurs de la guerre de Libération par les techniciens du musée. Les enregistrements seront effectués auprès d'anciens combattants, d'acteurs représentant les différentes catégories professionnelles, dont les commerçants et les artisans, ainsi qu'auprès de gens ordinaires. Medea - La présidente de l'Association de solidarité avec la femme rurale, Mme Saida Benhabyles a insisté, hier, sur l'urgence de mettre un terme au phénomène d'immolation par le feu est d'instaurer « un dialogue social sincère » entre les différentes composantes de la société afin de mieux prendre en charge leurs préoccupations. « Il y a urgence à mettre un terme au phénomène d'immolation par le feu observé depuis quelque temps à travers le pays et d'œuvrer ensemble pour préserver la vie des citoyens qui ont tenté de recourir à cette méthode pour faire entendre leurs revendications », a-t-elle indiqué lors d'une rencontre organisée par le mouvement féminin de solidarité avec la famille rurale.