La revue Echorta, est un magazine mensuel édité par la direction de la communication et des relations publiques à la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN). Cette même publication dénote l'intérêt que porte ce corps de sécurité à la communication, «un élément clé dans la relation, police-citoyens», comme on ne le cesse de répéter à la DGSN. Dans ses colonnes, ce sont les activités de la police algérienne qui sont mises en exergue. Dans son numéro 116 du mois d'avril de l'année en cours, la revue en question, s'est longuement attardée sur la disparition de l'ancien président du Haut Comité d'Etat (HCE), feu Ali Kafi. Le dernier salon de l'emploi de la DGSN initié à travers les huit wilayas du Sud, du 23 au 25 mars dernier, inauguré par la DGSN, Adbdelghani Hamel a été l'un des autres axes principaux abordés par l'équipe rédactionnelle de la revue Echorta. En page 49, c'est un long dossier consacré aux décélérations du ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Dahou Ould Kablia, qui avait assuré de la détermination des services de sécurité «à mettre tous les moyens afin de lutter contre la criminalité en Algérie particulièrement le kidnapping des enfants». Dans ce même numéro, il est relaté la médaille du mérite national décernée par le président de la République au martyr du devoir, le lieutenant de police Tahar Guettaf, tombé dans la wilaya de Batna le 6 septembre 2007 après s'être opposé héroïquement à une tentative d'agression contre le cortège présidentiel. Cette décision du Président Abdelaziz Bouteflika avait été saluée par le général-major Abdelghani Hamel, qui y décèle une attitude louable à l'égard des membres de la Sûreté nationale. «Cette consécration de l'officier, tombé dans l'exercice de son devoir, honore le corps de la police», avait-il noté à ce propos le 1er avril 2013, lors d'une cérémonie émouvante, célébrée pour honorer le sacrifice héroïque d'un digne fils de l'Algérie.