Algérie-Tunisie : coopération l Le ministre tunisien des Affaires étrangères, Khemaies Jhinaoui, a affirmé hier que sa visite en Algérie s'inscrivait dans le cadre de la «coordination» et de la «concertation» entre les deux pays autour des questions bilatérales, soulignant qu'il était porteur d'un message au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, de la part de son homologue tunisien. Dans une déclaration à la presse à son arrivée à l'aéroport international Houari-Boumediene, M. Jhinaoui a précisé que sa visite en Algérie à l'invitation du ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, était une «visite ordinaire qui s'inscrivait dans le cadre de la coordination et de la concertation entre les deux pays autour des questions bilatérales ainsi que les questions intéressant la région». Il a ajouté avoir été chargé par le «président Béji Caïd Essebsi de remettre un message au président de la République Abdelaziz Bouteflika». Santé : pas de différence entre public et privé l Le nouveau système de santé «ne fait pas de différence entre secteur public et secteur privé», a indiqué hier à Khenchela le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf. Ces deux secteurs «doivent être complémentaires», a souligné le ministre, ajoutant que de «nouveaux mécanismes de prise en charge des patients par les établissements sanitaires privés doivent être trouvés». M. Boudiaf qui a entamé, samedi après-midi, une visite de travail de deux jours dans la wilaya de Khenchela, a inspecté une clinique médicale privée au chef-lieu de wilaya, où il a estimé que l'accès à des soins «ne doit pas être refusé par les établissements privés au motif que le patient ne dispose pas de moyens suffisants». Il a également averti, que tout établissement de santé de statut privé ne fournissant pas des soins conformes aux conditions exigées «sera fermé». Hadj : l'Arabie saoudite maintient le même quota d'Algériens l Le ministres des Affaires religieuses et des Waqfs, Mohamed Aïssa, a indiqué samedi à Alger que le quota des hadji algériens estimé à 29 000 ne sera pas augmenté en raison des travaux d'extension de la grande mosquée de La Mecque. Les travaux d'extension de la grande mosquée de La Mecque n'étant pas achevés, le quota de hadjis algériens pour l'année 2016 reste inchangé et ne sera pas augmenté, a fait savoir le premier responsable du secteur précisant que cette mesure des autorités saoudiennes concernait également les pélerins des autres pays. Le ministre qui s'exprimait en marge de la célébration du premier anniversaire du décès de l'érudit Mohamed Lakhal Chourafa El-Akhal Cherfaa a rappelé avoir demandé récemment au ministre du Hadj saoudien l'augmentation du quota des hadjis algériens.