Résumé de la 1re partie Francisco se dit : «Une de perdue, dix de retrouvées», lorsque Clémence lui fait comprendre que c?est fini. Des préjugés plein la tête, il décide de changer carrément de chemin ; il prend le mauvais. Daniel G., chauffeur de taxi, n'a aucune raison de refuser cette course à l'élégant garçon qui s'assied derrière lui. Il n'a pas le temps de lui demander de régler la course. Francisco règle la dépense à sa manière : une balle dans la tête. Puis, faute de chauffeur, Francisco prend le volant de la Lancia et se dirige vers la maison de Clémence. Il pénètre dans le pavillon et se rue dans la chambre de la jeune fille. Il connaît les lieux, et Clémence comprend tout de suite, à sa façon de hurler sa colère, d'exhiber son fusil à pompe, qu'il a perdu la tête. Les menaces de mort se font plus précises. La jeune fille trouve refuge dans un placard. Faute de la retrouver, Francisco redescend au rez-de-chaussée et se trouve nez à nez avec le beau-père et la mère de Clémence. Ce sont des gens raisonnables et ils décident de traiter le problème par la douceur et les arguments de sagesse. Francisco ne leur en laisse pas le temps. Il les abat tous les deux froidement. Clémence, sortie de son placard, parvient à s'enfuir. Elle hurle sa terreur, trouve refuge chez des voisins. Francisco ne sait plus, à partir de là, ce qu'il doit écrire sur le scénario de son propre destin. Il regagne Paris, où on l'arrête dès le lendemain. En présence des forces de l'ordre, il crie : «La peine de mort pour les crimes de sang !» Il espère sans doute qu'un policier perdra son calme et qu'il recevra une décharge en pleine poitrine. On le maîtrise, on le calme à coups de piqûres. On l'enferme, mais, à chaque occasion, il manifeste sa force violente sur tout ce qui bouge : gardiens et codétenus. Il perd le sens de la réalité. Il faut le transporter dans un centre spécialisé, mieux équipé, pour le maîtriser. Une dernière piqûre pour le transport en fourgon spécial. Le criminel s'endort à même le sol et les gendarmes, rassurés, le regardent, enfin apaisé. A l'arrivée, il ne bouge plus du tout. Il a même cessé de respirer. A-t-il, dans une volonté de disparaître, absorbé des médicaments qui n'ont pas fait bon ménage avec ceux de l'administration ? Une erreur s'est-elle produite dans les dosages ? Une confusion dans les produits ? Qui le saura jamais ?