Les quelque 350 abribus, implantés en différents points de la capitale et/ou dans les 30 gares routières, sont loin de répondre au minimum requis pour ce qui est des commodités, du confort et de la sécurité. L?attente des usagers, souvent longue, . devient alors éprouvante. Ainsi, les voyageurs doivent souvent, en l?absence d?abribus, affronter, selon les saisons, soit une pluie battante soit un soleil ardent. Cela sans parler du manque de? sanitaires. Faire ses besoins devient, dès lors, un véritable casse-tête. Censées être la vitrine de la capitale, les gares routières et simples stations de bus sont dans un état lamentable et devraient être incluses dans tout projet de développement ou de réaménagement de la capitale.