Interrogé, Brahim Khellaf a affirmé que les écoles saoudienne et égyptienne ne seront pas fermées. «Elles n?ont qu?à enseigner leur programme à leurs ressortissants, car les élèves algériens seront obligatoirement inscrits, dès l?année prochaine, dans des écoles nationales». A propos des 40 établissements fermés au milieu de l?année puis autorisés, S. Zaghache, membre de la commission et directeur de l?enseignement secondaire au ministère de l?Education, assurera que «sur les 139 dossiers déposés pour l?ouverture des écoles privées, 98 ont été homologués et sur les 40 établissements menacés par la fermeture 26 se sont conformés à la réglementation ».