Alger : Le bébé, B. O., vient de décéder par noyade. L?accident s?est passé, lundi dernier, alors que le bébé jouait au domicile de ses parents sis à la ferme Boualem, village de Zaâtria. Le nouveau-né s?est noyé en tombant dans une bassine d?eau. Le corps de la victime a été transféré à la morgue de l?hôpital de Koléa alors qu?une enquête vient d?être lancée par la brigade de la Gendarmerie nationale de Zaâtria. Tipasa : K. M., âgé de 43 ans, a ouvert le feu, lundi dernier, à l?aide de son fusil de chasse, sur K. M., âgé de 43 ans, directeur d?une école. Ce dernier a été blessé au membre supérieur gauche. La fusillade s?est déroulée suite à un différend entre les deux hommes après l?égorgement d?un poulet par le directeur de l?école devant le domicile de K. M. La victime a été évacuée vers l?hôpital de Gouraya où elle demeure sous surveillance médicale alors qu?une enquête a été ouverte par la brigade de la Gendarmerie nationale de Gouraya. France : Grisé par les premiers flocons, un Français en visite en Finlande a passé une nuit dans la cellule d'un commissariat après avoir été interpellé alors qu'il s'ébrouait dans la neige... Le 24 octobre dernier, ce jeune homme de 27 ans, qui n'a pas été identifié, rendait visite à la grand-mère de sa petite amie finlandaise à Pieksamaki, à 300 km au nord-est d'Helsinki. Après une chute de neige, le jeune Français s'était précipité dehors pour se rouler sur le tapis immaculé. Mais l'émerveillement du jeune homme devant la précocité de l'hiver finlandais a paru suspect aux voisins. L'un d'eux a appelé la police pour signaler qu'un homme était allongé par terre dans la cour, a raconté le chef de la police, Tarmo Hamalainen. Dans un anglais approximatif, le jeune Français a tenté d'expliquer la situation aux policiers qui ne parlaient ni français ni anglais. «Il n'avait pas de carte d'identité, pas de papiers, pas d'argent, et il ne pouvait pas dire où il habitait, alors il a été embarqué». Le jeune détenu a fini par faire un dessin aux policiers pour expliquer où il demeurait et réussi à se faire comprendre des quelques officiers qui parlaient anglais. Il a alors été relâché. Canada : L'avocat d'un homme reconnu coupable du meurtre d'un policier a présenté ses excuses, lundi, pour avoir chanté le succès de Bob Marley I Shot The Sheriff alors qu'il quittait un palais de justice canadien. L'avocat sortait du tribunal durant une pause dans le procès de son client, Stéphane Boucher, lorsqu'il a entonné la chanson de Bob Marley suffisamment fort pour que les journalistes et policiers présents l'entendent. Les excuses n'ont toutefois pas empêché le barreau du Québec, l'organisme chargé de surveiller la pratique des avocats dans la province, d'ouvrir une enquête disciplinaire sur son comportement. Les sanctions disciplinaires éventuelles peuvent aller d'une amende à la perte du droit de pratique. Son client a finalement été condamné à 25 ans de prison pour le meurtre d'un policier abattu sur une autoroute de Montréal en février 2002.