Résumé de la 62e partie n L'oncle explique à Djazia et à sa fille que non seulement son fils les a mises sur la paille mais qu'il va demander une part de la villa ! L'oncle parti, Djazia éclate en sanglots. — dans quel guêpier, ma fille, je t'ai mise ! — tu avais trop confiance en lui ! — je n'avais pas le choix ! Sabrina s'emporte. — je te l'ai dit des dizaines de fois, mais tu ne voulais pas m'entendre ! — je voudrais, à l'heure actuelle, mourir ! Sabrina prend sa mère dans ses bras. — non, maman, j'ai besoin de toi ! Nous allons prendre un avocat pour défendre nos intérêts. — Et avec quoi le payer ? — nous vendrons nos bijoux ! A ce moment-là, on frappe à la porte. — si c'est lui, ne lui ouvre pas ! Appelle la police… — ne t'inquiète pas, je le laisserai dehors, comme un chien ! Elle entend sa mère ouvrir la porte, puis pousser un cri. — Mohammed ! Sabrina croit défaillir : Mohammed ! Mais s'agit-il du Mohammed auquel elle pense. — mon fils ! Elle se précipite. C'est bien lui ! — Mohammed ! Il la regarde, ému. — Sabrina ! Elle court vers lui et se précipite dans ses bras. — oh, Mohammed ! Il la serre contre lui, elle éclate en sanglots. — je t'ai trahi ! — ne parle pas de cela… Djazia soupire. — tu as su ? — oui. Il est très ému. — je suis venu chercher ma famille… Je viens d'acheter une petite maison…C'est alors que ma sœur m'a parlé d'une querelle avec ton cousin et ton oncle… Je me suis dit que tu pouvais avoir besoin de mon aide ! — oh, oui… — viens t'asseoir, dit Djazia, je te raconterai tout ! Mohammed écoute le récit et s'écrie. — c'est un escroc ! — tu peux, peut-être, faire quelque chose (à suivre...)