Résumé de la 61e partie n Comme Sabrina est fille unique, elle ne peut hériter seule de la fortune de son père. Son mari, qui est son cousin, y a été associé. L'oncle arrive dans l'après-midi, accompagné de son fils. — qu'il sorte ! hurle Sabrina. — je suis chez moi ! — je vais appeler la police ! crie Sabrina. — tu es folle ! dit l'oncle. — je veux qu'il sorte d'ici ! L'oncle est embarrassé. — Bon, toi, sors… Rafik tend le poing vers Sabrina. — tu me le payeras ! Et il s'en va. L'oncle gronde sa nièce. — tu l'as humilié ! Tu n'aurais pas dû te comporter de cette façon avec lui ! — c'est un escroc ! — il a fait des erreurs, mais il croyait bien faire ! Djazia se met à pleurer. — nous allons perdre notre fortune ? — il sera obligé de vendre pour éponger les dettes… Il vous restera la villa et la pension de mon frère pour vivre ! Sabrina éclate. — et tu nous dis cela, comme ça ? — comment veux-tu que je te le dise ? — que ton fils est un escroc ! L'oncle la menace. — ne redis plus cela ! Djazia intervient. — j'espère qu'il va se retirer, après ce qu'il a fait ! — je ne pense pas ! — quoi ! s'écrie Sabrina. — il a droit à une part de cette maison… — et il va réclamer ce droit ? — Je pense… — sors d'ici ! crie Sabrina. — tu es une impertinente ! Djazia intervient. — je crois qu'il vaut mieux partir… Quant à ton fils, qu'il ne revienne pas, sinon nous appellerons la police pour violation de domicile ! — alors, ce sera la justice ! — qu'il fasse ce qu'il veut… Nous prendrons un avocat ! L'oncle rit. — avec quoi ? vous êtes sur la paille ! (à suivre...)