Pour sa part, Djamel Menad, ex-international et ancien joueur de la JSK, incombe les raisons du marasme qui ronge notre football depuis le début des années 1990 jusqu'à ce jour, à l'Etat qui a délaissé les associations et ne s'est pas imposé comme le régulateur, le faiseur de politiques et de stratégies payantes, comme ce fut le cas avec la réforme sportive de 1977 qui a donné des résultats probants. Abdelkrim Aradji a insisté, lui, sur la nécessité de donner la priorité à l'encadrement technique et aux formateurs en permettant aux meilleurs d'investir le terrain tout en étant bien considérés et bien rémunérés. Enfin, Schnittger et ses collaborateurs se sont dit heureux de se retrouver sur le terrain, au cours des stages, où ils se régalent et se donnent à fond pour des stagiaires très motivés et débordants d'enthousiasme à vouloir apprendre et acquérir les derniers enseignements correspondant aux exigences et au futur du football moderne.