Résumé de la 32e partie n A qui accorder la main de Kenza ? A Ahmed, le fils de la tante Taos, ou à Youcef, le fils de la tante Mériem ? En colère, au début, Kenza exulte. — vous vous êtes pris à votre propre piège. Mohammed, à qui on vient de tout raconter, est hors de lui. — qu'est-ce que cette histoire ? Il était convenu qu'elle épouse le fils de la tante Taos ! Kenza le foudroie du regard. — toi aussi, tu étais au courant ? Il lui jette un regard mauvais. — tu croyais que j'allais supporter, plus longtemps, ton comportement ? Tu crois que je ne suis pas au courant de ce que tu fais ? — je n'ai rien fait de mal ! — Ahmed, c'était l'occasion rêvée ! — Eh bien, je ne l'épouserai pas ! — tu l'épouseras ! Kenza s'enhardit. — c'est Youcef que je veux épouser ! Fadhéla et Omar la regardent, stupéfaits. — quoi… — oui, c'est lui que je veux épouser ! Mohammed est désemparé. — Mais le fils de la tante Taos ! — je choisis Youcef ! répète Kenza. Mais Mohammed finit par comprendre son jeu. — ah, vaurienne, j'aurais voulu que tu épouses Youcef, tu aurais préféré Ahmed ! Kenza éclate de rire. Mohammed se lève. — je vais te casser la figure ! — touche-moi, si tu es un homme. Omar arrête Mohammed. — du calme ! — elle nous nargue ! — vous vous êtes bien moqués de moi ! — c'est dans ton intérêt, dit Fadhéla. Kenza éclate en larmes. — vous m'avez considérée comme un objet ! — tu n'es rien du tout ! dit Mohammed. — et toi ? Qu'est-ce que tu es ? — arrêtez de vous quereller ! dit Omar. — C'est lui, dit Kenza. — c'est elle, dit Mohammed. — assez, nous avons d'autres chats à fouetter ! — Eh bien, fouettez- les ! dit Kenza, dédaigneuse. Et elle quitte la pièce. (à suivre...)