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Cela s'est passe un jour/ Aventures,drames et passions celebres
Le poison, arme fatale (27e partie)
Publié dans Info Soir le 28 - 03 - 2009

Résumé de la 26e partie n On ouvre la cassette qui appartient à la marquise de Brinvilliers et on découvre plusieurs poisons. Ainsi, en mourant Sainte-Croix compromet sa maîtresse...
Ainsi donc Sainte-Croix et la marquise de Brinvilliers sont des empoisonneurs et des meurtriers. On savait que l'homme et la femme sont amants, mais on ignorait qu'ils étaient associés dans le crime.
Comme Sainte-Croix mentionne son valet Lachaussée et qu'on sait que ce dernier a été au service de M. d'Aubry et de Saint-Laurent, des soupçons sont portés contre lui. De plus, on trouve chez lui des papiers compromettant, du poison et de l'argent caché, fruit de ses services malhonnêtes. Il est donc arrêté et déféré devant les juges.
— Avouez, lui dit-on, que vous êtes complice de Sainte-Croix et de la marquise !
— Je n'ai fait que servir le chevalier, j'ignorai tout de ses activités !
— Et l'argent qu'on a trouvé chez vous ? N'est-ce pas le salaire de votre forfaiture ?
— Je l'ai gagné honnêtement !
— Tant d'argent pour un valet ?
— J'économise depuis longtemps sur ce que je gagne…
— Et le poison ? Comment expliquez-vous sa présence chez vous ?
— Je ne l'explique pas. Je ne sais comment il est arrivé là !
Comme il s'obstine à nier, on décide de le faire passer en jugement. Cela signifie qu'il sera torturé : s'il avoue, il sera déclaré coupable, mais s'il résiste à la douleur et n'avoue rie, il pourrait être sauvé.
Le 4 mars 1673, un arrêt est publié, déclarant «Jean Amelin, dit Lachaussée, coupable d'avoir empoisonné le dernier lieutenant et le conseiller et le condamne à être rompu vif et à expirer sur la roue, préalablement appliqué à la question ordinaire et extraordinaire, pour avoir révélation de ses complices».
L'arrêt déclare que la marquise de Brinvilliers sera condamnée par contumace à avoir la tête tranchée.
Le jour même de la promulgation de l'arrêt, on fait subir à Lachaussée le supplice des brodequins. Ce supplice consiste à lier chaque jambe du condamné entre deux planches, puis à rapprocher les deux jambes l'une de l'autre par un anneau de fer et à enfoncer des coins (instrument métallique en forme de prisme pour fendre du bois ou du métal) entre les planches du milieu.
Le premier coin qu'on enfonce entre les jambes est très douleurs, mais on peut aller jusqu'à quatre coins, ce qui cause des douleurs insupportables.
Lachaussée résiste jusqu'à trois points, mais quand on s'apprête à enfoncer le quatrième, il a la force de crier.
— Assez, je suis prêt à parler.
On arrête aussitôt le supplice et on le libère. Il essaye de se lever, mais il s'écroule.
— Apportez un matelas, crie le bourreau à ses aides.
On le prend, on l'étend sur un matelas.
— Maintenant, avouez !
Mais Lachaussée est trop faible.
— Donnez-moi une demi-heure pour reprendre mes esprits. (à suivre...)


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