Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.
Belkhadem explique le choix de la candidature de Bouteflika pour la présidentielle Présidant une rencontre nationale de la section politique de la jeunesse d'avant-garde du FLN
Photo : Riad Par Amar Rafa Le FLN a réuni jeudi dernier à Alger sa section politique de la jeunesse d'avant-garde, en présence du secrétaire général de l'instance exécutive de ce parti, M. Abdelaziz Belkhadem. Cette rencontre nationale, la première du genre, qui se tient dans une conjoncture marquée par les préparatifs à l'élections présidentielle du 9 avril prochain, et surtout à quelques jours du lancement de la campagne électorale, est, cela va sans dire, l'occasion de sensibiliser cette section importante de la catégorie de la jeunesse sur laquelle compte le parti, dans la perspective de mobilisation des électeurs pour aller voter massivement le jour «J» du scrutin présidentiel. Saisissant cette occasion, le président de l'Alliance présidentielle et secrétaire général de l'instance exécutive du parti du Front de libération nationale (FLN), M. Belkhadem, a expliqué l'option du parti du FLN, de soutien à un troisième mandat du président Bouteflika, indiquant que, si le parti a choisi la candidature du président Bouteflika pour la prochaine présidentielle, c'est parce que l'Algérie «a besoin de poursuivre le processus de la réconciliation nationale et celui du développement». Le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN a rappelé aussi qu'il y a 10 ans l'Algérie a traversé une période douloureuse et qu'actuellement, grâce à la politique initiée par le chef de l'Etat, «elle a retrouvé la paix et marqué son retour sur la scène internationale». Dans son allocution prononcée devant les représentants des jeunes des 48 wilayas du pays, M. Belkhadem est revenu, en outre, sur la genèse de la création de cette section, soulignant que l'avenir de l'Algérie est aujourd'hui «entre les mains de la jeunesse». Il a indiqué que «nos aïeuls ont libéré le pays des mains du colonialisme avant de passer à la phase de l'édification du pays, pour donner toutes les chances» aux enfants d'Algérie. Pour lui, la jeunesse doit contribuer au développement du pays, à travers l'acquisition de la science, du savoir et de la technologie, tout comme elle doit construire les usines, qui, à leur tour, pourront être la source de «notre nourriture». «Actuellement, notre grand défi et notre plus grand pari consiste en l'acquisition de la science et de la technologie», a-t-il relevé, notant que le parti du FLN «ne croit pas en la rupture mais en la fusion des compétences entre les générations».