Aïn Defla-ville a besoin d'un nouveau service d'urgences médicales Le service des urgences de l'hôpital du chef-lieu de la wilaya de Aïn Defla fonctionnent dans de très mauvaises conditions, les médecins et paramédicaux souffrent énormément lors de l'exercice de leur fonction à cause du manque de matériel adéquat. Du point de vue architectural, cette ancienne construction ne convient plus pour l'exercice de cette mission médicale d'urgence. A l'extérieur, il est souvent difficile pour les automobilistes, y compris les ambulances de stationner et transférer les malades. Bref, le chef-lieu de la wilaya a besoin d'un nouveau service des urgences à hauteur des aspirations de la population de cette grande ville, un service qui doit prendre en compte le stationnement, la circulation interne, mais également un matériel médical adéquat. La route de Boutane attend son revêtement La route qui passe au Sud de la cité universitaire de Boutane, tout ou long de la zone d'activité de la commune de Khemis Miliana, est dans un état très dégradé, parsemée de mares d'eau, qui se forment après les précipitations et devient impraticable, aussi bien pour les piétons que pour les automobilistes. Cette route, qui a besoin d'une opération de revêtement, représente pourtant un raccourci pour rejoindre la cité Houria et éviter la l'embouteillage de la RN4 reliant Alger à Oran. De plus, ce quartier est complètement abandonné sachant qu'il fait partie de la périphérie de la commune de Khemis Miliana. Des commerçants mal organisés occupent la placette de Khemis Miliana La placette de la ville de Khemis Miliana située en face de la poste est envahie par des commerçants mal organisés qui donnent une mauvaise image à cet endroit. Le transfert de ces commerçants vers un autre endroit bien aménagé permettra sans aucun doute de redonner à cette placette sa fonction initiale. Entre autres le commerce informel semble avoir pris de l'ampleur dans cette ville la plus peuplée de la wilaya de Aïn Defla. Le revêtement de la route Djelida-Sidi Lakhdar a commencé Les travaux de revêtement de la route qui mène de la ville de Djelida à celle de Sidi Lakhdar viennent, enfin, d'être lancés il y a quelques jours. Une entreprise spécialisée a été engagée pour prendre en charge cette route utilisée fréquemment par les automobilistes à partir de chef-lieu de la wilaya pour contourner la ville de Sidi Lakhdar ou l'on enregistre des bouchons. Il est à rappeler que son état de dégradation très avancé a provoqué la colère de la population de la région, laquelle a saisi toutes les instances, y compris la presse nationale qui a signalé son état à plusieurs reprises. L'amélioration urbaine d'El Amra bientôt finalisée Le chef-lieu de la commune d'El Amra enregistre ces derniers temps une accélération dans l'opération de l'amélioration urbaine. Une fois finalisée, cette opération permettra à cette ville de disposer d'un bon tissu urbain qui permettra à la population de vivre dans de bonnes conditions. En dépit d'un léger retard, il semble que les orientations des services concernés ont eu un effet positif sur l'accélération de la cadence des travaux. Cependant, il semble que les conduites d'alimentation en eau potable en acier galvanisé ne sont pas concernées par cette opération. Ce qui a engendré la colère d'une grande partie de la population, laquelle exige le remplacement du réseau qui date de plusieurs années. En plus, son état est à l'origine des fuites signalées ici et là au centre-ville. Les habitants de Sidi Rabeh attendent une prise en charge Une quarantaine de familles résidant à la cité de la ferme Sidi Rabeh, située à Oued Rihane, relevant de la commune de Khemis Miliana, souffrent du manque de commodités nécessaires à une vie ordinaire. Les fosses septiques sont encore utilisées, ce qui engendre des risques de maladies à transmission hydrique. L'état des voies de circulation et de certaines habitations nécessite une prise en charge. Une unité de Protection civile inaugurée à Djendel La ville de Djendel vient de se doter d'une unité de Protection civile. Elle permettra d'assurer la couverture de la partie sud-est de la wilaya qui était auparavant sous l'autorité de l'unité de la ville de Khemis Miliana. La wilaya de Aïn Defla, qui compte actuellement 10 unités, envisage d'inaugurer prochainement 4 autres au niveau des communes de Djelida, Amra, Bordj Emir Khaled et Bethia. La Protection civile vise ainsi à se rapprocher beaucoup plus de la population y compris celle localisée dans le milieu rural. Les biologistes demandent des postes de travail Les titulaires des diplômes universitaires en biologie éprouvent d'énormes difficultés pour trouver un emploi stable. Selon eux, les hôpitaux et autres directions doivent ouvrir des postes budgétaires pour les biologistes, lesquels sont obligés de travailler dans le cadre temporaire type CPE et autres au niveau des laboratoires privés ou ailleurs. Les habitants de la cité Chaïchi demandent la réouverture de leur route à la circulation Les habitants de la cité Chaïchi, située dans la ville de Khemis Miliana, ont dénoncé la fermeture à la circulation routière de la route menant à leur cité en passant près de l'établissement pénitentiaire. Cette situation a engendré des difficultés importantes pour beaucoup d'entre eux. Une correspondance a été envoyée aux responsables de la wilaya afin qu'ils prennent les mesures nécessaires. Les PME ont créé plus de 24 000 postes de travail Plus de 24 000 postes de travail permanents ont été créés dans la wilaya de Aïn Defla durant la période allant de 2000 à 2008. Selon le directeur des petites et moyennes entreprises (PME) de cette wilaya, qui s'est exprimé sur les ondes de la radio locale, ces postes de travail ont été créés par les 5 139 petites et moyennes entreprises. Durant l'année 2008, environ 950 petites et moyennes entreprises sont entrées en activité dans cette wilaya. Le secteur de l'artisanat a vu, quant à lui, une augmentation dans le nombre d'adhérents, qui a atteint 2 800, dont 347 inscrits en 2008. Il reste beaucoup à faire pour améliorer l'activité sport et travail De nombreux fonctionnaires pratiquant l'activité sportive organisée dans le cadre (sport et travail) dénoncent la mauvaise programmation des matches de football et la mauvaise communication des responsables de la ligue. Cette situation est à l'origine des perturbations importantes dans le travail de ces fonctionnaires, lesquels sont parfois obligés de programmer leur libération de leur milieu de travail, particulièrement ceux exerçant un travail posté. En raison du manque de communication au sein de la Ligue sport et travail de Aïn Defla, l'équipe de l'EPH de Sidi Bouabida a effectué un déplacement à Chlef, alors que la rencontre devant l'opposer à une équipe de la wilaya de Tipasa, avait été reportée à une date ultérieure.