Entretien réalisé par Farah Bachir-Cherif LA TRIBUNE : Quelle est votre actualité artistique ? Kenza Farah : Je suis actuellement en plein studio, je prépare mon nouvel album, le 3ème, qui sortira le 17 mai, incha Allah, et je prépare d'autres sorties. Y a-t-il des duos dans cet album ? Au niveau des duos, ce n'est pas encore terminé ; on n'a pas encore choisi mais il y en aura. Pour votre venue en Algérie en juin prochain, comment préparez-vous votre prestation ? Pour commencer, je serai très contente de revenir dans mon pays. Cela me fera énormément plaisir et, puis, ça bouge beaucoup en Algérie. il y a de plus en plus de concerts et de festivals. J'espère qu'il y aura du monde et que les gens seront contents. Je vais essayer de donner le meilleur de moi-même. Avez-vous prévu des visites ou des rencontres avec d'autres artistes algériens ? Pour l'instant, nous n'avons pas encore réfléchi, mais ce sera bien de connaître d'autres artistes, faire des connaissances. Ce sera avec plaisir. Dans vos clips, vous représentez beaucoup les couleurs de l'Algérie. Comment peut-on interpréter cela ? Je pense tout simplement que c'est parce que je suis en France et que mon cœur, lui, est en Algérie. Je suis très fière de représenter mon pays. C'est donc naturellement que je le fais parce que je pense que c'est important et que cela fait partie de moi. Que représente pour vous la qualification des Verts à la Coupe du monde ? C'était une très très grande joie, j'ai suivi leur parcours et leur qualification. C'était pour moi quelque chose de très fort, c'était bien et j'espère qu'ils iront loin. Kenza Farah supportera-t-elle l'équipe nationale en Afrique du Sud ? Oui, pourquoi pas ? Ce sera avec plaisir si le temps me le permet, bien sûr, vu que mon album sort en mai prochain. Mais j'aimerais bien y être. En attendant, j'embrasse très fort tout le peuple algérien et j'espère revenir très vite en Algérie, incha Allah.